Je n'ai jamais eu le temps de faire des recherches , et pourtant , j'aimais l'entendre raconter la guerre , des histoires tragiques , et aussi des histoires d'amitié. Mais , curieusement , il était évasif sur ce point précis...
Mon père faisait partie d'un détachement de la 2ème Division blindée. Et celui-ci se trouvait en plein dans l'axe de la contre-offensive allemande. Malgré les Tigres avec lesquels ils étaient opposés et avec lesquels la lutte était monstrueusement inégale , il semble qu'ils se soient battus toute la nuit. Au matin , ils n'étaient plus qu'une poignée. Le détachement avait été anéanti. Le Sherman , malgré certains commentaires le décrivant comme peu inflammable s'embrasait dès qu'il recevait un coup direct.
Mon père a perdu , de ce fait , une bonne partie de ses compagnons d'armes. Et sans doute qu'il n'a plus jamais été le même homme. Je le suppose , je n'ai jamais fait la guerre...

Bonjour,
je voulais savoir quel été le rôle de Pierre Laval pendant la Seconde Guerre Mondiale??
merci de me répondre.

Je vous conseille un site:"Diocèse de Quimper et Léon où il y a notamment un article intéressant:" Le siège de Brest en août 1944 (vu de St Marc)
Je vous en donne un extrait ci-dessous:

"Lundi 18 - Hier dans la soirée et toute la nuit, les obus passent au-dessus de nous à la cadence de 8, 10, 12 par minute, rien que dans notre secteur. Que restera-t-il de Brest? Car les incendies continuent.
A 8h, 4 obus éclatent sur le bourg. Qu’est-ce que ça peut être? Sans doute des obus allemands venant de la presqu’île de Crozon. La Prieure m’a demandé de prendre certains objets au Carmel: les Américains ne m’accordent pas l’autorisation.
L’artillerie se tait à partir de 8h30. Un armistice est intervenu pour Brest; ...

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Jacques Prigent, c’est tout un poème !


Jacques et moi sommes liés d’amitié depuis la moitié du siècle dernier, depuis ce fameux hiver très froid de 1956 alors que nous étions stagiaires à l’AAEAT d’Agen, 34ème Brigade et que nous occupions la même chambrée de 12 pioupious. On peut dire et même affirmer que Jacques n’était pas un brillant élève, il était plutôt dissipé, volontairement dissipé. Il a effectué quelques séjours dans les locaux disciplinaires du quartier Toussaint dans lesquels il a laissé, inscrits dans la pierre, les traces de ses passages.
Au sein de la brigade on le surnommait Jack Wilson (à moins que ce pseudo soit né de son inspiration déjà créative). Ainsi, un dimanche, dans cette bonne ville d’Agen, il est arrêté par une patrouille de la PM au motif qu’il avait une tenue vestimentaire non conforme au règlement. C’est bien sûr pour le gardi...

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Et oui il y a un second "gatos" à la maison, celle-ci se nomme Maya.