Chers Camarades de réflexion,
Il serait bien, le matin du samedi 8 novembre 2008, en prenant votre journal que le jour suivant, l’on se souvienne qu’il y a 65 ans des intellectuels et des travailleurs du livre et de la presse livraient un combat éclatant contre l’occupant, au mépris de leur liberté et même de leur vie – certains ne rentrèrent pas de leur lieux de détention. Ils furent durement punis pour ce qui n’était qu’un acte de résistance littéraire.
Ce fut l’édition d’un « numéro pirate » du quotidien « Le Soir » de Bruxelles. Il ne tua aucun allemand, mais fit rire de bon cœur, pour une fois à ce moment là, tout un peuple au moment où il en avait le plus besoin, après déjà trois ans de privation diverses, d’angoisse et d’oppression. Ce fut un appel d’air magistral, une relance, pour tous ceux qui arrivaient au bout de leur résistance
Plus de détails, vous le trouverez, bien expliqué, sur le site
http://fr.wikipedia.org/wiki/Faux_Soir
Amicalement
A tou(te)s, selon sa latitude bonjour, bonsoir.