PanzerTruppen a écrit:Le Messerschmitt 262 avait un problème, il y en avait peu. Je crois que les allemands pouvait en aligné 200 contre 200 000 avant que les russes n'entrent dans territoire.
PanzerTruppen a écrit:Le Messerschmitt 262 avait un problème, il y en avait peu. Je crois que les allemands pouvait en aligné 200 contre 200 000 avant que les russes n'entrent dans territoire.
[/quote]PanzerTruppen a écrit:Le Messerschmitt 262 avait un problème, il y en avait peu. Je crois que les allemands pouvait en aligné 200 contre 200 000 avant que les russes n'entrent dans territoire.
En février Walter quitte la JG5 pour participer à la défense d’un Reich chancelant. Il doit apprendre à maîtriser le nouveau chasseur à réaction, le Me262. « Cette machine était d’un tout autre calibre. Voler dans un jet était un véritable bonheur, il donnait au pilote un sentiment d’invulnérabilité malgré la supériorité écrasante de nos adversaires. » Le 26 mars, c’est un Schuck enthousiaste qui prend la tête du 3./JG7 lors de cette période marquée par une activité intense. Si de nombreux pilotes ont éprouvé des difficultés à dompter le «Schwalbe », lui se sent aussi à l’aise que dans son vieux Me109. Le 24 mars, Walter et son ailier patrouillent au-dessus de Münster lorsqu’ils repèrent un P-38 Lightning et deux P-51 Mustang. Les Allemands passent immédiatement à l’attaque. Si son « katschmarek » se débarrasse assez rapidement du Lightning, le leader de la « Rotte » triomphe des deux Mustang. Après un âpre combat tournoyant, Schuck explose le premier en plein ciel, avant d’endommager l’aile droite du second qui part à la verticale en traînant un large panache de fumée. Quatre jours plus tard, l’Oberleutnant Schuck revendique un autre Mustang. Le 7 avril, deux Lightning du 30ème Squadron de reconnaissance de la 9ème Air Force, sont entrain de photographier une section d’autoroute près de Seesen lorsqu’ils sont surpris par deux Me 262 du 3./JG7. Walter détruit les deux moteurs de l’appareil du Captain William T.Heily qui doit s’éjecter. Fait prisonnier, ce dernier sera libéré huit jours plus tard par l’infanterie américaine.
Le 10 avril est une nouvelle journée chargée pour notre Staffelkapitän qui affronte ce jour-là une armada de bombardiers B-17 escortés par une nuée de chasseurs. Les « lourds » venaient de livrer leur cargaison sur Parchim vers 14h30 au moment de leur interception par trente Me 262 qui avaient décollé d’Oranienburg, Parchim et Brandenburg-Briest. Walter attaque par-dessus et par derrière. Bientôt un B-17 prend feu. L’as passe au-travers de la formation ennemie et détruit l’élévateur d’un second bombardier qui est immédiatement déserté par son équipage. Quelques secondes plus tard, il détruit deux autres forteresses avec ses fusées air-air R4M. A court de carburant, le pilote décide alors d’atterrir à Jütterborg mais à environ mille mètres d’altitude, son moteur explose, endommageant au passage une aile. En une fraction de seconde, Schuck ouvre la verrière, se libère de ses sangles et saute dans le vide. A trois cent mètres du sol, il actionne son parachute et atterrit sain et sauf. Son unité a eu moins de chance avec cinq pilotes tués, quatorze disparus, treize appareils perdus, quatorze manquants et huit endommagés. Pour la JG7, la fin est proche. Comme pour la plupart des unités de la Luftwaffe, elle est accélérée par le manque de carburant et par la pression de plus en plus vive des forces ennemies, au sol comme dans les airs.
Walter Schuck a été officiellement crédité de 8 victoires sur jet dans les dernières semaines du conflit mais il en a obtenue d’avantage. Il termina la guerre avec 206 succès obtenus au cour de 500 missions, ce qui le place au 11ème rang des as de l’aviation.
Pu N de turbine !!!
En effet le Furhrer voulait absolument en faire un bombardier ce qui a tout retardé et tant mieux.
L'avion était révolutionnaire mais, comme beaucoup d'autres "armes miracles", un des derniers "coups de Bluff" d'Hitler, sorti trop tôt des bureaux d'études et mis en production avant que la technique ne soit maitrisée, tout simplement ...
En effet le Furhrer voulait absolument en faire un bombardier ce qui a tout retardé et tant mieux.
PapyNavions a écrit:Réfléchissons un peu. Si le Me 262 avait été aussi brillant qu'on essaie souvent de nous le faire croire, il aurait été largement copié à partir de 46-47, y compris par la France (le CEV en avait récupéré).
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