Le musée du régiment "Normandie-Niémen" en France peut rester sans toit sur la tête et même cesser d'existerVendredi, le 9 avril 2010, 20:30
Sur le contenu du musée par an on demande 14 mille euro, mais aux engagés volontaires-enthousiastes, les 15 personnes toutes eux entrant dans l'association de l'ensemble commémoratif, l'argent on n'a nulle part où prendre : eux il y a longtemps en retraite, chacun - déjà sous 80 ans
Cependant, en France, le musée du régiment "la Normandie-Niémen" - peut rester sans toit sur la tête et - au développement pire des événements - cesser l'existence. La raison - le manque de l'argent sur le paiement des locaux. Il convient de trouver l'histoire du régiment comme un des exemples brillants de la fraternité soviéto-française de combat. Si les Français de nos héros totaux se rappellent aujourd'hui ?
Le ballon de football pour l'enceinte que sépare le musée de l'aérorégiment "la Normandie - le Niémen" du terrain de sport, vole rarement. Et heureusement, les verres sont entiers jusqu'ici. Mais les volets de fer à tout hasard ferment quand même. Que se trouve après eux, de jeunes footballeurs n'ont pas pu répondre.
- Non, je ne connais pas ce qu'il y a là.
- Ces avions, ici, ils appartiennent aux pilotes français, mais sur le régiment je ne connais rien.
C'est Yak-3. En telles voitures les pilotes de l'aérorégiment légendaire ont fait plus de 5000 missions de combat, ont cassé centaines d'avions ennemis. Côte à côte - "le Mirage" français. Avec les armes de l'escadrille "Normandie-Niémen". Aussi maintenant l'histoire. Le régiment des Forces aériennes françaises portant le nom de l'escadrille, était licencié l'été dernier. La réforme militaire est devenue la raison à celui-là.
Claude Lemée, le président du mémorial «Normandie-Niémen» :
- Il m'est très triste. La sensation que nous peut perdre quelque chose beaucoup pour nous très important et cher - la mémoire l'exploit des Russes et les Français. Nous dans la dette devant les héros, quels noms sont faits tomber sur cette plaque commémorative. Nous n'avons pas droit d'oublier qu'ils ont fait pour la Victoire.
Ce musée était ouvert exactement il y a 20 ans. Pourquoi ici, dans cette petite petite ville Les Andelys, au loin des itinéraires touristiques, dans 100 kilomètres de Paris ? Était tel le désir des pilotes qui ont survécu. Ведьименно est née ici Marcel Lefèvre, le premier pilote de l'aérorégiment qui est devenu le héros de l'Union Soviétique.
Il était un des premiers engagés volontaires français, qui par un automne de 1942 a atterri à Ivanovo. Dans le premier groupe "la Normandie" il y avait seulement 14 pilotes, mais pour toute la guerre - 96. Jusqu'à la plupart d'eux n'ont pas vécu jusqu'à la Victoire. Les objets d'usage courant, les objets personnels, la machine-outil de barbier, la bouilloire, les ciseaux - tous recueillaient pour le musée selon les grains. On savent même les premiers mots qu'ils ont appris sur le Russe.
André Bauman, le conservateur :
- Froidement, le bonnet, l'eau-de-vie, Marusja.
Cela vers les Allemands «les sorcières de nuit» dirigeaient la terreur. Les pilotes français savaient trouver avec eux le terrain d'entente. Ils étaient jeunes, et aux heures de repos rares établissaient le phonographe. Il est devenu pour eux quelque chose comme le porte-bonheur. Le tourne-disques - de la France, le disque - de la Russie. Les chansons russes chantaient ensemble. La vraie fraternité de front trouvait les exemples dans les épisodes tragiques de la guerre.
Claude Lemée, le président du mémorial «Normandie - le Niémen» :
- À la fois après le décollage il y avait une avarie, la cabine a été remplie par les vapeurs d'essence et d'huile brûlant. Le mécanicien voici dans une telle position par derrière, sans parachute, mais l'avion tombe. L'équipe de la terre : "au Pilote - sauter!" Le parachute seulement chez lui. Le pilote refuse, parce que ne veut pas jeter le mécanicien.
Ils ont péri ensemble - le lieutenant De Seynes et le mécanicien Bielozoub. Ils sont enterrés à Moscou, dans une tombe. Centaines de documents, les photos racontent des événements de ce temps. Et voici maintenant il faut faire les nouvelles photos. Qui pourrait penser - l'exposition pour garder la mémoire elle! Sur le contenu du musée par an on demandait 14 mille euro. Mais les engagés volontaires-enthousiastes, les 15 personnes toutes eux entrant dans l'association de l'ensemble commémoratif, l'argent on n'a nulle part où prendre. Eux il y a longtemps en retraite, chacun déjà sous 80 ans. À vrai dire, le compris était trouvé : au musée est prêt à accorder la place l'Ensemble de l'aviation et l'espace à Le Bourget.
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Traduction fournie par PROMT™ -
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