coyote a écrit:Loïc Charpentier a écrit:coyote a écrit:Le but étant d être reconnu par les troupes au sol.
Alors, çà, très franchement, même si c'est avéré, c'était de "la poudre aux yeux", même en plein jour et par beau temps! De nuit, je n'en parle pas même pas! t::
Je n ai pas dit que le système était efficace d ailleurs si cela avait été le cas,ils auraient tous reçu ces marques.
De toutes façons cette directive si directive il n a
Pas été respectée loin s en faut.
C'était, à mon humble avis, une mesure plus "psychologique" qu'autre chose! Ce n'était pas pour rien, non plus, que la chasse allemande n'était pas censée intervenir dans les zones de tir de la Flak, y compris celles des pièces "légères", 2 cm Flak 38 ou affûts quadruples Flakvierling, engagées à basse altitude, en principe, à moins de 1800 m, en 1944!. Les canonniers de la Flak et, en général, tous ceux de la DCA, quelque était leur camp, avaient, tendus comme des strings - çà se comprend! -, la fâcheuse habitude de tirer sur ce tout ce qui passait, alors, dans leurs viseurs! Sans parler du fait, que, depuis la Der des Ders, les erreurs de tir sur des troupes amies, faisaient, hélas, partie des "incidents (presque) courants".
Je reprends, intentionnellement, ma vitesse d'attaque au sol de 400 km/h, soit 400 000 m en 3600 secondes; ce qui nous fait 310 m/s, soit un délai de deux secondes, au mieux, entre un appareil en approche à "600 m" et son survol du terrain qu'il vient d'attaquer; çà ne fait pas bézef de temps pour réagir, au sol, sauf que, en principe, l'attaque était, elle-même, fort heureusement, bien souvent, précédée par un survol préalable de reconnaissance de la cible, suivi par un virage à 360°, une descente en altitude - et un changement de régime des moteurs, clairement identifiable par un pinpin quelque peu expérimenté -, qui, eux, ne laissaient aucun doute sur les intentions du ou des appareils!