Post Numéro: 5 de Margont 21 Nov 2011, 19:46
C'est justement en lisant ce fil que j'ai commencé à me poser la question.
Edit : je parlais du premier fil cité par Aldbert.Ok pour être plus précis dans le bombardement et moins repérable à l'approche, mais contre la Flak, plus on est haut mieux on se porte, non ? (Même si on doit rester moins longtemps dans le collimateur à très basse altitude.)
Le risque de se faire souffler par ses propres bombes - surtout sur des installations pétrolières ! - est moindre par rapport aux avantages cité plus haut ?
Les pertes de cette opération (hors chasse) ont-elles été plus faibles que sur une opération équivalente menée à haute altitude ?
Et il y a d'autres exemples de bombardement à basse altitude ? (avec des bombes "normales"
, pas rebondissantes ou torpilles !)
Edit : le deuxième fil répond à ma question sur les perte...
Et l'extrait du bouquin proposé par Prosper à presque tout le reste ! « L’ennemi se déguise parfois en géranium mais on ne peut s’y tromper,
car tandis que le géranium est à nos fenêtres, l’ennemi est à nos portes. »
Pierre Desproges