Posté: 23 Mai 2006, 14:33
De même, le simple fait d'organiser une conférence détermine bien le degré de communication qu'on souhaitait atteindre.
Une rencontre de visu est destinée par essence à faire passer un message important. Elle permet également d'adapter son discours en fonction des réactions de ses interlocuteurs.
De plus, élément non négligable, elle induit une participation active: les protagonistes auront du mal à dire, plus tard, "je n'y étais pas"... chose plus aisée avec un mémo, une circulaire,... dont on peut facilement dire "désolé, je ne l'avais pas lu(e)"
Ce qui m'amène à la question suivante: les organisateurs ont-ils prémédité cet aspect, n'était-ce pas un des buts ("mouiller" les co-signataires) ?
En cas de réponse positive, ne fallait-il pas alors rentrer dans les détails, expliquer clairement le caractère génocidaire du processus ?
... vaste débat...
Une rencontre de visu est destinée par essence à faire passer un message important. Elle permet également d'adapter son discours en fonction des réactions de ses interlocuteurs.
De plus, élément non négligable, elle induit une participation active: les protagonistes auront du mal à dire, plus tard, "je n'y étais pas"... chose plus aisée avec un mémo, une circulaire,... dont on peut facilement dire "désolé, je ne l'avais pas lu(e)"
Ce qui m'amène à la question suivante: les organisateurs ont-ils prémédité cet aspect, n'était-ce pas un des buts ("mouiller" les co-signataires) ?
En cas de réponse positive, ne fallait-il pas alors rentrer dans les détails, expliquer clairement le caractère génocidaire du processus ?
... vaste débat...