Bonjour les membres...
Voici quelques jours que je navigue sur votre forum et je peux vous assurer que c'est une mine d'or pour l'aspirant écrivain historique que je suis ! Donc, pour tout ça et les premiers contacts établis, un grand merci.
À présent, je pense mettre dans ce seul sujet les deux trois questions que j'ai concernant mon projet (parce que si je fait un post pour chacune d'elle, j'ai peur de vite devenir agaçant !).
Premièrement, le pitch : "Pendant la retraite de 1944, entre Souppes-sur-Loing (77) et AMilly (45), la Résistance locale et les Allemands s'affrontent, qui pour protéger les ponts du Loing qui permettront l'avancée des alliés, qui pour les miner. C'est dans se contexte que l'agent de liaison FFI Philippe Sergent évolue. Il a 20 ans, rêve d'une France de nouveau libre, prêt pour cela à tous les exploits.
On vit les événements de son point de vue, ainsi que de celui de Victorine Royer, jeune fille réfugiée à Souppes, assurant des missions de ravitaillement pour le maquis et l'envoi de message aux familles des maquisards. Elle s'est éprise du jeune Philippe qu'elle admire en secret.
Parallèlement, on suit l'avancée/retraite allemande, notamment du point de vue du capitaine Hederzet. Celui-ci est chargé par le generalmajor Arndt de conduire des missions de reconnaissance et de destruction dans le sud Seine-et-Marne, à Souppes, afin de se renseigner et retarder l'avancée des Alliés. Au cours d'une de ces missions, Philippe Sergent, 2 autres camarades et 1 Sulpicien sont pris en otages.
Ramenés à Amilly (près de Montargis), les soldats allemands blessés exigent que les Français soient fusillés. Il semble que le capitaine Hederzet soit suffisamment indécis pour aller prendre ses ordres auprès de Arndt. Ce dernier autorise l'exécution. Les 4 maquisards seront donc conduits dans un champs à l'extérieur de la ville, seront sommés de creuser leur tombe avant qu'on ne leur tire une balle dans la tête.
Philippe Sergent, ayant compris les intentions ennemis, dans un ultime sursaut de courage, abat le plat de sa pelle sur une sentinelle allemande et fuit en direction d'un cour d'eau 100 mètres plus loin avant d'être abattu.
Au retour de ces soldats, le capitaine Hederzet s'enferme plusieurs heures dans le noir de la chambre de la maison réquisitionnée. Il exprime dans son journal de guerre ses remords, son inquiétude face à l'avancée allié et la défaite prochaine. Pense à ses parents, notamment sa mère qui lui envoie quotidiennement des lettres où elle exprime son chagrin et sa peur de ne pas le voir revenir dans son Allemagne natale.
Le livre se finirait sur les recherches des Résistants (notamment conduite par Victorine Royer) et l'hommage qui leur sera rndu un an plus tard."
S'inspirant en grande parti e de faits réels, n'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de ce pitche, et des écueils auxquels je devrais faire attention.