Connexion  •  M’enregistrer

Comportement des troupes américaines en Belgique1944-1945

Vos recherches bibliographiques ou archivistiques vous mènent à une impasse ? Vous avez une question précise à propos d'une source bibliographique, iconographique ou matérielle ? Posez là ici. Elle intéressera certainement les limiers du forum.

MODÉRATEUR: Dog Red

Re: Comportement des troupes américaines en Belgique1944-1945

Nouveau message Post Numéro: 11  Nouveau message de Prosper Vandenbroucke  Nouveau message 23 Mar 2013, 19:01

Bonjour Etienne,
Ce sujet est abordé dans le l'ouvrage de Pierre Stephany "1944 - Le bonheur et les épreuves de l'année la plus longue" paru au Editions "Le Livre" D 1995/7265/02.
(page 408 à 414)
Cependant c'est plus au plan national que régional.
Bien amicalement
Prosper ;)
L'Union fait la force -- Eendracht maakt macht

Image
http://www.freebelgians.be

Administrateur d'Honneur
Administrateur d'Honneur

Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 99358
Inscription: 02 Fév 2003, 21:09
Localisation: Braine le Comte - Belgique
Région: Hainaut
Pays: Belgique

Voir le Blog de Prosper Vandenbroucke : cliquez ici


Re: Comportement des troupes américaines en Belgique1944-1945

Nouveau message Post Numéro: 12  Nouveau message de janne  Nouveau message 23 Mar 2013, 21:20

Merci pour ces sources.
Dès que possible je demanderai au réseau de bibliothèques publiques de retrouver ce livre. Ce sera peut-être une 1ère piste avec la bibliographie qui y est sans doute jointe..


 

Voir le Blog de janne : cliquez ici


Re: Comportement des troupes américaines en Belgique1944-1945

Nouveau message Post Numéro: 13  Nouveau message de Prosper Vandenbroucke  Nouveau message 23 Mar 2013, 22:31

Bonsoir Etienne,
Voici une numérisation des pages extraites du livre cité plus haut.
Je crois d'ailleurs qu'il est inutile de demander au réseau de bibliothèques publics car il n'y a pas de bibliographie dans l'ouvrage cité.
Par contre il y en a une dans l'ouvrage du même auteur "Des Belges très occupés" (Editions Racine ISBN 2-87386-398-6) ouvrage qui est en fait une reprise des 6 ouvrages (1940,1941,1942,1943,1944, et 1945) de l'auteur, seulement dans cet ouvrage l'auteur ne reprend pas les pages citées.
Bien amicalement
Prosper ;)

Une armée de luxe
Pendant cet automne 1944 où, souvent, le temps avait été aussi beau que pendant le printemps 1940, la Belgique en fête
avait regardé passer sur ses routes les soldats porteurs de liberté et d'aliments sans timbres. Les Anglais au battle-dress de tissu
rugueux et les Américains, le casque sur l'oreille, laissant pendre leurs longues jambes au bord des chars.
Les Américains, surtout, jeunes, beaux, gais et suralimentés, fascinaient. Ils venaient d'un autre monde, ils ressemblaient
tous à Gary Cooper. Leur armée était comme un fleuve motorisé et comme une caravane publicitaire.
L'Amérique, qui ne dépensait autant d'essence que pour avoir à dépenser moins du sang de ses fils, nous envoyait un flot automobile qui,
dans l'imaginaire collectif, ouvrait non seulement les routes de la liberté mais encore les portes de l'abondance.
Ils débarquaient, puérils et conquérants, équipés jusqu'aux dents de permanganate pour purifier l'eau du robinet, de désinfectant pour neutraliser
les risques du contact avec des indigènes qui depuis quatre ans n'avaient plus pris un vrai bain, de tout ce qu'il fallait pour contrer les effets secondaires des
marques de reconnaissance que ne pourraient manquer de leur prodiguer les partenaires prêtes à se sacrifier au repos du guerrier.
Ils avançaient silencieusement, sur leurs souliers à haute tige, suivis d'un parfum de bonbon à la menthe, de savon à la lanoline et de tabac sucré.
Dans nos villages éberlués, ils déballaient des produits d'un exotisme incroyable: le café en poudre, la pêche au sirop, le chocolat vitaminé,
cependant que, chaque jour, nous enrichissions notre vocabulaire de termes aux syllabes magiques: jeep, pepermint, andrew sisters, camel, pin-up,
coca-cola; remplaçant kommandantur, werbestelle, achtung et verboten, les rudiments de la langue anglaise qu'aujourd'hui
tout le monde apprend à l'école furent how much et lets go baby.
Nous apprenions aussi cette chose surprenante, pour nous, dans cette préhistoire de l'ère de l'information : la ségrégation raciale.
On ne voyait pratiquement jamais ensemble des militaires noirs et des militaires blancs.
Les Noirs, presque toujours, s'occupaient de l'intendance. Beaucoup conduisaient des camions de munitions. Cet hiver-là,
tous les chemins du pays de Herve, du Limbourg, de l'Ardenne, furent creusés d'abominables fondrières par le passage incessant des convois empruntant des itinéraires,
parfois inattendus, sans doute calculés depuis longtemps par les experts du Pentagone.
Dans les prairies, dont on avait chassé les vaches, s'étendaient jusqu'à perte de vue des pyramides d'obus et des montagnes de caisses pleines de mines,
de bombes et de cartouches.
Les dépôts de cette armée de luxe étaient des cavernes d'Ali Baba autour desquelles tournaient les gamins effrontés,
les trafiquants louches et les filles prêtes à beaucoup de choses, sinon à n'importe quoi, en échange de ce cadeau mythique: une paire de bas nylon.
Tous n'étaient pas des enfants de chœur. Cette autre formule anglo-saxonne nous étonnait, peinte au pochoir sur la porte de certaines maisons pas trop closes :
off limits. On en voyait qui jouaient au poker sur le pas des portes. Les malabars de la police militaire en casque blanc s'occupaient
de ceux qui voulaient, en plus, jouer du couteau.
L'Angleterre se vidait des soldats que, depuis deux ans, elle entassait sur son territoire et les déversait sur le continent.
Ils furent 3 millions 500.000, appartenant à une douzaine de nations, auxquels, dans son ordre du jour, à la veille du débarquement, Eisenhower avait dit :
"Vous êtes accompagnés par les prières et l'espérance de tous ceux qui, sur cette terre, chérissent la liberté."
Les plus nombreux de tous étaient les Américains. Ils furent aussi les plus encombrants.
L'Angleterre les vit avec soulagement aller sévir ailleurs. L'image du G.l. est entrée dans le folklore populaire sous la forme d'un grand jeune
homme gentil et détendu, avec des yeux rieurs, des dents éclatantes, un filet sur son casque, la fermeture à glissière de son blouson défaite, et son soulier
à semelles de crêpe négligemment posé sur le marchepied d'une drôle de petite voiture découverte.
La réalité est aussi insolite mais plutôt moins charmante.
Pour les troupes au repos, dans les villes de province, l'autorité américaine annexait sans façons les grands cafés et les salles de cinéma.
A Bruxelles, un dancing comme le Saint- Sauveur se trouvait transformé, à l'usage des nouveaux venus (pas seulement les Américains, il est vrai) en Twenty One Club,
où seuls les militaires et les jeunes filles étaient admis; les filles se pressaient à l'entrée, alléchées par l'offre de boissons et de gâteaux sans timbres;
les garçons enrageaient, à l'entrée on les refoulait.
A Verviers, le samedi 21 octobre, débarquèrent par pleins camions des soldats américains auréolés par la prise toute récente d'Aix-la-Chapelle.
On les accueillit avec enthousiasme.
Le soir, un bal fut organisé en leur honneur dans la salle des pas perdus de la gare centrale. Les jeunes filles s'y précipitèrent.
Les jeunes gens aussi; ici, ils étaient admis, mais ils firent tapisserie. L'enthousiasme baissa.
Les nièces de l'oncle Sam
Dans l'ambiance, le triomphe des orchestres de jazz sous l'occupation, avait retrouvé son appellation d'origine, ln the mood.
C'était toujours le triomphe de Glenn Miller, l'air le plus joué. Mais l'ambiance avait changé.
Chaque jour, on signalait de nombreux accidents - vieillards renversés, enfants tués - dus à l'imprudence des conducteurs menant leurs véhicules
"comme des cow-boys", c'était l'expression consacrée. Autre grief formulé contre les Américains: ils engageaient, pour l'entretien de leurs locaux, des femmes de ménage
au tarif de 2.130 francs par mois pour six heures de prestation quotidiennes (ou 1.400 francs et deux repas par jour); c'était le double de ce que pouvaient payer
les entreprises autochtones, et cette façon de gâter le marché valut aux libérateurs quelques critiques de plus.
D'une certaine manière, les Américains étaient des victimes. On connaissait leur goût pour les spiritueux, auxquels ils donnaient indistinctement le nom de "cognac";
on leur vendait à gros prix d'innommables tord-boyaux; "flesch, cinq francs", ajoutait le commerçant en montrant les cinq doigts de la main;-
il aurait fallu dire "bottle", mais qu'importe. - cela signifiait qu'au prix déjà prohibitif de la bibine, il fallait ajouter celui du contenant, supposé qu'un jour l'acheteur
en kaki rapporterait la consigne et recevrait ses cent sous en retour. Il n'y a pas de petits profits.
Mais ils furent également à la source d'un juteux marché noir. Sollicités par des Belges sans scrupules, mais ensuite sans avoir besoin qu'on les sollicite, ils vendaient du chocolat,
du café, des cigarettes trouvés dans leurs propres cantines, ou soustraits aux magasins d'approvisionnement. L'auditorat militaire et la police belge firent savoir à la population
que les soldats se livrant à ces trafics seraient sévèrement punis et que les habitants du pays qui achèteraient de cette façon quoi que ce
soit seraient poursuivis pour recel. Les échanges se poursuivirent de plus belle.
En 1918, une polémique s'était ouverte dans les colonnes des journaux au sujet de l'attitude trop libre de certaines femmes à l'égard des soldats de toutes nations qui traversaient
les villes. On retrouva, en 1944, les mêmes propos sur le même problème - sauf que celui-ci, à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, prit des proportions sans précédent.
Ils étaient beaux, jeunes, riches et ils venaient de loin.
Mais, surtout, ils étaient, en matière de sexe, d'une avidité sans limite. On a déjà parlé, dans les chapitres de cet ouvrage, consacrés à la présence des G.I.'s en Grande-Bretagne,
de la frénésie sexuelle qui saisissait les boys éloignés de leurs bases sociales et familiales.
Les pays reconquis allaient, à leur tour, subir l'épidémie. Ils arrivaient les poches pleines de candies et pratiquaient, à l'égard des femmes, des manières dont peu
d'hommes d'Occident avaient jusqu'alors vu l'utilité: ils faisaient le tour de la voiture pour leur tenir la portière, ils les complimentaient sur leurs cheveux,
ils leur trouvaient à toutes des jambes plus belles que celles de Marlène Dietrich - la comparaison la plus souvent employée, d'après ce qu'ont révélé,
après la guerre, des enquêtes sociologiques effectuées sur le sujet. Elles s'abandonnaient.
"Elles faisaient fic fic avec les fritz, disaient les critiques écœurés, maintenant elles font zig zig avec les amerloques".
Ce n'était pas aussi simpliste. Les mobiles les plus divers poussaient les femmes dans les bras des neveux de l'oncle Sam, y compris le rêve d'être adoptées en qualité de nièces.
Des dizaines de milliers de mariages concrétisèrent ce souhait. La reconnaissance aussi joua son rôle.
Et puis les Américains avaient un tel appétit qu'ils n'étaient pas toujours très regardants sur la qualité; pour la première fois, peut-être, dans l'histoire, la plus sotte et la plus disgraciée avaient leur chance.
Tout cela fait que, quand même, ils auront laissé chez nous, outre quelques bébés dont certains tiraient fort sur le café au lait, beaucoup de bons souvenirs.
Un soir de vadrouille
N'empêche que les endroits où ils s'installaient prenaient des airs de villes du Far-West. Liège ou Verviers, les grandes villes les plus proches de la frontière allemande et celles où se
trouvaient les premiers camps de repos, rappelaient un peu Chicago. Dans les villages, ils annexaient le cercle paroissial, jusqu'alors réservé aux représentations d'œuvres effarouchées,
exclusivement vouées à la célébration de la vertu, et les divertissements auxquels ils s'y livraient, les plaisanteries qu'ils y échangeaient étaient en proportions des dégâts iconoclastes
qu'il fallut réparer après leur départ dans le décor et le mobilier.
L'argent et l'alcool coulaient de concert. Devant des établissements très accueillants, on pouvait voir les hommes faisant la file, avec, dépassant de la poche, la tablette de chocolat,
sous le bras la farde de Lucky Strike ou sur le bord du trottoir le bidon d'essence destinés à rétribuer le service.
La nuit, les M.P. hauts comme des armoires à glace faisaient à coups de matraque le ménage dans les rues, ramassant les ivrognes et les bagarreurs et poussant sans ménagement dans des camions des lots d'yeux au beurre noir et de crânes cabossés.
Tout ceci pouvait n'être que le fait, bien compréhensible, de joyeux lascars un soir de vadrouille. Mais le crime organisé, lui aussi, s'intéressa à la libération des territoires repris aux
Allemands. Des gangsters tirèrent de grands profits des désordres de cette époque. D'après Liddel Hart, historien de la Deuxième Guerre mondiale, rien qu'entre le début du mois de
juin et le début de l'automne 1944, ce sont 300 millions de litres d'essence américaine qui partirent au marché noir dans les territoires libérés de France et de Belgique.
Marc Hillel, dans un livre sur les G.I.'s en Europe, cite le chiffre de 10.000 hommes des armées de Patton et de Hodges qui, pour voir Paris, quittèrent leur unité, pour un temps plus ou moins long, avec des Jeeps, des camions, des couvertures, des produits alimentaires et même des armes dont certains d'entre eux n'hésitèrent pas toujours à se servir.
Le même auteur fait état de statistiques suivant lesquelles près de un pour cent des soldats américains d'Europe durent être déférés aux tribunaux militaires pour
des délits allant du vol de quelques paquets de cigarettes ou d'un retard de 24 heures dans le retour au corps jusqu'à la désertion, au meurtre et au viol collectif.
Le nombre d'exécutions capitales dans l'armée américaine au cours de cette période varie, selon les sources, d'environ septante à une centaine.
Dans nos contrées, leur souvenir resta longtemps vivace, mêlé d'un peu d'amitié et d'une certaine ironie.
En septembre 1945, à Petit-Rechain, 'à l'occasion de la fête du retour des prisonniers, on chanta une "pasqueie", chanson en wallon, qui les
raillait gentiment:

Duspoye qui les Américains
Ont v'nou rètchèssi les Prussiens
Duvins les vèyes et les viyèdges
Nos avans st'appris leu linguèdge.
Dig è dig è dig din do
Tot l'monde sé dire Okay Hello.

Po fiesti nos libèrateurs
On l' z' invitéve magni è heure,
Zèls nu sèl fi né dire deux feyes,
Surtout wice qu'aveu des fomreyes
Po l'mame avit des chocolat
Et des cigarettes po l'papa,
Adon po les p'titès wihettes
Y'avit leus potches pleines du chiclettes.

Si v' z' arèti avau les voyes,
C'nesteut né po d'mander leu voye,
C'esteut todi l'mème ritournelle:
Dè cognac ou des mad'moiselle *.

Il y en avait comme cela 22 couplets. On leur avait beaucoup de gratitude. On ne leur en voulait pas trop. On fut tout de même assez soulagés de les voir reprendre le bateau.

Traduction des paroles de la chanson en wallon
Depuis que les Américains - Sont venus chasser les Prussiens - Dans les villes et les villages - Nous avons appris leur langage .
- REFRAIN: Ding et ding et ding ding don - Tout le monde peut dire OKay Hello -
Pour fêter nos libérateurs - On les invitait à manger et à boire - Ils ne se le faisaient pas dire deux fois - Surtout là où il y avait des femmes. - Pour la maman ils avaient du
chocolat - Et des cigarettes pour le papa - Ensuite pour les petits enfants - Ils avaient leurs poches pleines de chewing gum. - S'Ils vous arrêtaient en rue -
Ce n'était pas pour demander leur chemin - C'était toujours la même ritournelle : - Du cognac et des mademoiselles.
L'Union fait la force -- Eendracht maakt macht

Image
http://www.freebelgians.be

Administrateur d'Honneur
Administrateur d'Honneur

Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 99358
Inscription: 02 Fév 2003, 21:09
Localisation: Braine le Comte - Belgique
Région: Hainaut
Pays: Belgique

Voir le Blog de Prosper Vandenbroucke : cliquez ici


Re: Comportement des troupes américaines en Belgique1944-1945

Nouveau message Post Numéro: 14  Nouveau message de janne  Nouveau message 23 Mar 2013, 22:53

Merci.
Je vais étudier ça.


 

Voir le Blog de janne : cliquez ici


Re: Comportement des troupes américaines en Belgique1944-1945

Nouveau message Post Numéro: 15  Nouveau message de janne  Nouveau message 25 Mar 2013, 23:05

Bonsoir,

Un aimable forumeur aurai-il connaissance des faits suivants :

1--A Boelke, (orthographe douteuse) en Belgique, un sergent US aurait tué son commandant. Il était avec des amis dans un café et on lui a dit de partir. Il a refusé. Il n'y a donc que des Américains impliqués dans ce fait.

2-- A Welkenraedt, un soldat américain a tué un autre soldat après une dispute. Encore une fois, seulement des Américains.

Les hommes ont été pendus. Je voudrais savoir s il y a des souvenirs ou des témoins de ces faits.

Merci d'avance


 

Voir le Blog de janne : cliquez ici


Re: Comportement des troupes américaines en Belgique1944-1945

Nouveau message Post Numéro: 16  Nouveau message de Prosper Vandenbroucke  Nouveau message 25 Mar 2013, 23:27

Bonjour Etienne.
Je n'ai rien à ce sujet sauf que la commune cité en premier lieu pourrait bien être la commune de Boëlhe (Entité actuelle de la commune de Geer)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bo%C3%ABlhe
Amicalement
Prosper ;)
L'Union fait la force -- Eendracht maakt macht

Image
http://www.freebelgians.be

Administrateur d'Honneur
Administrateur d'Honneur

Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 99358
Inscription: 02 Fév 2003, 21:09
Localisation: Braine le Comte - Belgique
Région: Hainaut
Pays: Belgique

Voir le Blog de Prosper Vandenbroucke : cliquez ici


Re: Comportement des troupes américaines en Belgique1944-1945

Nouveau message Post Numéro: 17  Nouveau message de jmh  Nouveau message 26 Mar 2013, 10:39

Information trouvée dans le livre de Michel Herubel, "la Bataille des Ardennes" :

" On a appris, aprés la guerre, que prés de 20.000 hommes, l'effectif de plus d'une division, avaient pillé a Paris et à Reims le ravitaillement de leurs camarades qui combattaient dans les Ardennes. Les camions disparaissaient "dans la nature" sur les routes qui menaient au front."

Un des faits les plus marquants par la Military Police, mobilisée contre l'opération Griffon, est l'arrestation de 181 officiers et 3 soldats qui avaient carrement volé un train complet de ravitaillement.

Amitiés,


 

Voir le Blog de jmh : cliquez ici


Re: Comportement des troupes américaines en Belgique1944-1945

Nouveau message Post Numéro: 18  Nouveau message de janne  Nouveau message 13 Mai 2013, 12:04

Bonjour,
Je ne désespère pas encore mais les quelques témoins rencontrés ne peuvent pas me dire grand chose de nouveau.
Mes lectures non plus.
un livre (un peu hors sujet) vient de paraître en français :
http://www.lalibre.be/culture/livres/ar ... rbare.html
je vais le demander à la bibliothèque de ma commune


 

Voir le Blog de janne : cliquez ici


Re: Comportement des troupes américaines en Belgique1944-1945

Nouveau message Post Numéro: 19  Nouveau message de janne  Nouveau message 20 Mai 2013, 22:14

Bonjour,

Pour la documentation des forumeurs intéressés par ce sujet (Hirondelle que je connais bien) , je prépare une bibliographie des livres que j ai pu consulter.

qui va piano va sano e lontano.... :D :D


 

Voir le Blog de janne : cliquez ici


Précédente

Connexion  •  M’enregistrer

Retourner vers VOS RECHERCHES




  • SUR LE MEME THEME DANS LE FORUM ...
    Réponses
    Vus
    Dernier message
 
  ► Les 10 Derniers Posts du jour Date Auteur
    dans:  Moteurs d'aviation soviétiques 
il y a 12 minutes
par: Alfred 
    dans:  Identification d'un MS-406-C1 
il y a 50 minutes
par: Clauster 
    dans:  Meeting aérien de Cerny/La Ferté-Alais les 18 & 19 Mai 2024 
Aujourd’hui, 15:30
par: Marc_91 
    dans:  Les Feux de la rampe 2.0 : Épaves de guerre (1936-1945) 
Aujourd’hui, 14:48
par: Prosper Vandenbroucke 
    dans:  Biographie de Darnand ? 
Aujourd’hui, 14:35
par: JARDIN DAVID 
    dans:  Quiz suite - 7 
Aujourd’hui, 14:05
par: Prosper Vandenbroucke 
    dans:  Les Feux de la rampe 2.0 : La guerre en Indochine, 1 er septembre 1939/14 septembre 1956. 
Aujourd’hui, 12:25
par: Prosper Vandenbroucke 
    dans:  Les bunkers de Pignerolle 
Aujourd’hui, 12:05
par: Guillaume49 
    dans:  Que faisaient-ils en 1914-1918 
Aujourd’hui, 10:33
par: Prosper Vandenbroucke 
    dans:  L'armée d'armistice 
Aujourd’hui, 10:14
par: iffig 

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 190 invités


Scroll