Front de Leningrad

[Prosper Vandenbroucke]

C'est peut-être un expression imagée mais ce n'est certainement pas une méconnaissance du sujet. J'ai eu des témoignages oraux dans les années 1990 de la part de déportés qui ont vécu les marches de la mort en 1945 en plein temps hivernal.
Je sais ce sont des témoignages oraux et ce sont des témoignages, non pas de soldats, mais de déportés.

[Dog Red]

Le désespoir entraîne forcément des comportements désespérés.

Dans le cas présent il est question de soldats sur le front.
Hors situation extrême, les premières lignes sont nourries et abreuvées régulièrement.

Dans l'exemple du siège de Bastogne que je connais mieux que la situation sur la Narwa, siège de Bastogne que tu évoquais par ailleurs à propos de la photo partagée, les gars sur le périmètre ont toujours eu à manger et à boire (ce sont le plasma, les fournitures médicales perdues suite à la capture de l'échelon médical divisionnaire et les munitions, notamment d'artillerie de 155, qui manquaient. Pas la nourriture).

Certes la nourriture arrive froide sur la ligne de contact, faute de rations disponibles l'ordinaire fait place au pain (les boulangeries tournaient à plein à Bastogne pour nourrir troupes et population) mais à aucun moment Bastogne et ses assiégés n'ont connu de rupture dans l'approvisionnement en nourriture et en eau.

La photo du Sgt SLOAN que tu as partagée est une belle photo qui a fait le tour du monde... ...mais gare à l'image d'Epinal !
L'esthétisme de la photo ne doit pas faire croire que les assiégés de bastogne en étaient réduits à "manger de la neige et sucer des glaçons", encore une fois c'est vivement déconseillé en campagne pour survivre.

On voit sur cette autre photo, ci-dessous, qu'au milieu de la forêt ardennaise, sous la neige, les GI's en ligne sont approvisionnés :


Encore une fois, prendre au pied de la lettre certaines expressions imagées induit facilement des conclusions erronées par méconnaissance du sujet.

Voici un court extrait de son Passage a Kowel

DSL pour les fautes

Quelques jours plus tard on est partie pour le front.
Avant de partir le chef de compagnie nous a rassemblé pour savoir qui étais instruit aux mortiers.
Bien sur moi j’ai dit oui.
J’ai dit a Velter aussi de se manifesté
Il me répond qu’il ne connais rien a ses canons
Il fini par Accepter car je lui est dit que je lui apprendrai tout
Toujours un peut plus en arrière du front, un beau jours il a fallu faire une attaque dans un grand marrais très large. On étais plus dans le nord de la Russie mais au milieu près de Kowel, Gomel, Minsk.
On a descendu la vallée (j’étais avec un allemand plus vieux que moi mais pas avec Velter )
La vallée était très mouillé, on s’enfoncé dedans.
Au milieu il y avais un ruisseau d’une dizaine de mètres de large (il y avait encors de la glace geler dessus.)
On s’enfoncer jusqu’au genoux de l’autre coté une grande hauteur. En bas un petit village.
Les Russe étais sur les hauteurs avec des canon anti char qui tirait sur nous
Arrivé de l’autre coté du marais un village (la terre étais ferme)
Le chef des mortiers a crié (Mortier en place et feu a volonté)
Ils on donc tiré 2 obus sur les antichars dans les hauteurs
Les antichars on répondu par 3 obus résultat 3 morts et le mortier cassé
Il on mis le deuxième mortier en place
Même résultat 3 morts mortier en pièces.
Nous on étais juste une dizaines de mètres derrière.
J’ai pris une petites bêches pour mettre un peut de terre devant nous.
Quand j’avais une vingtaine de centimètre devant moi, j’ai enfoncé ma bêche dans le tas de terre.
A peine couché j’entend un bing (c’étais la bêche qui venait de se faire trouer)
Apres cela nous nous battons en retraite en piquant des sprints. Tout les 20 ou 30 mètres nous nou laissons tomber dans le marais pour récupérer. Lors d’un sprint mon fusil que je tenais dans main droite fit une surprenante embardée. J’ai pu observer, au moment d’un arrêt de récupération que la crosse de mon fusil était trouée par une balle (j’avais de la veine).
A bout de force et sans l’aide de cette allemand qui m’encourageait. j’allais abandonné cette course.
Arrivé a la rivière, nous avons aidé beaucoup de soldats blessés a sortir de l’eau car la berge était trop haute.
Ils étaient trop nombreux on a du abandonner. On repartait vers l’arrière mais les Russes ont barré notre retraite en tirant a l’artillerie lourde. Apres un tir, nous nous sommes relevé et les 2 téléphonistes qui couraient 50 mètres devant nous n’étais plus la (l’obus était tombé sur eux) C’étais l’enfer, sur une compagnie de 120 nous ne comptions plus que 25 personnes.
En sortant du marais, la police était la et nous envoya dans une maison toute proche.
Il y avait la beaucoup de soldats mais pas mon copain Velter. Au bout de quelques heures il est enfin venu sale et très épuisé. (Velter expliquera plus tard a son fils jean paul, qu’il avait terminé son repli vers l’arrière en rampant au sol n’osant plus se relever)

plus tard un officier nous a fait sortir les blessés de la rivière, on a tous laisser fusil et autres.
Nous entendions 2 coups de canon coté Russe. On s’avaient que c’était pour nous, on a plongé dans le marais. Un obus a explose a 3 mètres de moi, j’était enseveli,
J’avais du mal a m’en sortir mais je n’étais pas blessé.
On a pas été a la rivière et on est rentré a la maison.
Si sa aurai arrivé sur la terre ferme on aurait plus rien retrouver de moi.
Apres cela J’ai été sourd pendant plusieurs jours.
Un peut plus tard et pour la première fois nous nous sommes portaient volontaire pour porter des blessés vers l’arrière loin a une infirmerie.
Donc Velter devant et moi derrière avec une échelle ( Les Russes ne nous on pas tirés dessus)

Par la suite nous nous retrouvons tous les 2 dans notre compagnie de mortier. Un peu en arrière du front, nous avions creusé un trou pour y installer un mortier notre mortier de 80 et on tirait de temps en temps des obus

Tout d’abord merci a tous pour votre passage sur se poste.

Pour Loic oui Roco m’a déterré de précieuses informations

En Norvège a Oslo il fera partie d’une compagnie de mortier motorisé a vélo ( 3./Gren .-Ausb 89)
Il y restera jusqu’au 11/09/43 (d’après le soldbuch)
Le 12/09/43 muté sans autre indication autrement dit( Fus Batl 214)
En février 44 ils débarquent a Talinn
Je perd sa trace jusqu’en mars 44 ( mon grand père avez écrit sur une feuille )
Blessure de guerre région lac de Peipus unité Fus batl 214
Le 10 mai 1944 muté a la 5.Kp./Gren .Rgt.355

Etait t-il vraiment au 5Kp./Gren.Rgt.355 car le 10 mai il rentre en France

Ma question

Est ce qu’il pouvait être tireur de mortier dans l’unité Fus batl 214
Ou fallait t-il passer dans le 5Kp./Gren.Rgt.355 pour cela.

Si la réponse est l’unité Fus batl 214 alors il n’aura probablement pas ou vraiment peu été au Gren.Rgt.355

Si la réponse est le Gren.Rgt.355, alors je pense, il y sera redirigé fin mars 1944.

Même si tout ne colle pas trop sa va.
L’histoire prend forme.

Je dois juste comprendre Gren.Rgt.355 ou pas Gren.Rgt.355
son passage à la Aufklärungs Ersatz Abteilung 3 (quand ?)
pendant sa periode en norvege au 3./Gren .-Ausb 89 ???

Pour la BUNDESARCHIV.de
Une réponse rapide et négative j’ai déjà reçu.

Extraits du tome 1 de la "Bible"de Peter Schmitz + Klaus Jürgen Thies , à propos de la 214. ID




Et, ci-dessous, organisation d'une ID "Type 44", le Fusilier-Bataillon cycliste figure dans l'avant-dernière ligne...
NOTA : Vu la position du symbole "cycliste" (Radfahr), placé sous la 1. Kompanie du Fusilier-Bataillon, j'ai un doute sur "l’entièreté" du Bataillon équipé de vélos - en théorie, dans ce cas, il devrait figurer au centre de la symbolique représentant ledit Bataillon-, mais il y avait pratiquement autant de variantes que de formations!

Est ce qu’il pouvait être tireur de mortier dans l’unité Fus batl 214

L'armement collectif de chaque compagnie de grenadiers ou de fusiliers était composé de 16 le.MG 34 ou le.MG 42 (sur bipied) et de 2 m.Granatwerfer (mortiers) de 8 cm, la 4. Kompanie (au sein de chaque bataillon) disposait, elle, de 12 le.MG (sur bipied), 3 s.MG, les mêmes mais montées sur trépied lourd , et 4 mortiers de 12 cm s.Granatwefer.

Le Division-Fusilier-Bataillon - formation créée fin 1943 - faisait office d'unité de l'avant et de reconnaissance (Aufklärung) -. Au sein de la 214. ID, il était issu de la Radfaht-Ausfklärungs-Abteilung 214 (bataillon de reconnaissance cycliste), elle-même formée à partir d'un Radfahr-Aufklärungs-Schwadron (escadron cycliste de reconnaissance).

Bonjour Loïc,

NOTA : Vu la position du symbole "cycliste" (Radfahr), placé sous la 1. Kompanie du Fusilier-Bataillon, j'ai un doute sur "l’entièreté" du Bataillon équipé de vélos - en théorie, dans ce cas, il devrait figurer au centre de la symbolique représentant ledit Bataillon-, mais il y avait pratiquement autant de variantes que de formations!

Et pour rajouter encore une variante : celle du Div. Füs. Bataillon de la 214. Infanterie Division avec 1. et 2. compagnie à pied, 3. compagnie cycliste
et 4. compagnie (celle du grand-père) motorisée et exclusivement anti-char (3x3,7 cm Pak-2x 7,5 cm Pak) .

OOB 214.Infanterie Division au 1.2.44, soit 2 semaines avant de partir pour le front de Narwa

Source : annexes KTB 70. corps d'armée

Rien n'exclut évidemment, qu'après les pertes au front de Narwa, le bataillon est restructuré d'une façon plus classique . Pour le savoir,
cela demande pas mal de recherches et avant de me lancer je voudrais obtenir une information de Jérôme .

Il y restera jusqu’au 11/09/43 (d’après le soldbuch)

Soit tu t'es mal exprimé ou bien c'est moi qui a mal compris . Tu possède le Soldbuch de ton grand-père ? Si c'est le cas et
si le Soldbuch est complet, tu dispose de tous les informations concernant le parcours militaire de ton grand-père dans la Wehrmacht .
Je comprend que tu ne veuille pas mettre un scan du Soldbuch sur le net, mais si effectivement ce Soldbuch existe, envoie un scan
par MP à Loïc ou à moi . Cela permettrait d'éclaircir certains des nombreuses incohérences du parcours décrit jusqu'à présent (et
principalement les mutations après le 10 mai 44) .

En Norvège a Oslo il fera partie d’une compagnie de mortier motorisé a vélo ( 3./Gren .-Ausb 89)

Quand ton grand-père arrive en Norvège, il a déjà été muté à la 214. Infanterie Division . Le Grenadier Ausbildungs Bataillon 89
se trouvait à Schrimm et ne s'est retrouvé à aucun moment en Norvège . Cela vaut également pour la Aufklärungs Ersatz Abteilung 3,
basée à Göttingen .

Et pour rajouter encore une variante : celle du Div. Füs. Bataillon de la 214. Infanterie Division avec 1. et 2. compagnie à pied, 3. compagnie cycliste
et 4. compagnie (celle du grand-père) motorisée et exclusivement anti-char (3x3,7 cm Pak-2x 7,5 cm Pak) .

OOB 214.Infanterie Division au 1.2.44, soit 2 semaines avant de partir pour le front de Narwa

Source : annexes KTB 70. corps d'armée

Rien n'exclut évidemment, qu'après les pertes au front de Narwa, le bataillon est restructuré d'une façon plus classique .

Soit tu t'es mal exprimé ou bien c'est moi qui a mal compris . Tu possède le Soldbuch de ton grand-père ? Si c'est le cas et
si le Soldbuch est complet, tu dispose de tous les informations concernant le parcours militaire de ton grand-père dans la Wehrmacht .
Je comprend que tu ne veuille pas mettre un scan du Soldbuch sur le net, mais si effectivement ce Soldbuch existe, envoie un scan
par MP à Loïc ou à moi . Cela permettrait d'éclaircir certains des nombreuses incohérences du parcours décrit jusqu'à présent (et
principalement les mutations après le 10 mai 44) .

... , Roger, tu as encore "frappé sévère" en nous dégainant la Kriegsgliederung de la 214. ID, au 01.02.1944, avec son Fusilier-Bataillon, constitué de deux compagnies "à pied", une troisième "cycliste" et une quatrième, antichar, "tractée motorisée"! Pour les 4,7 cm Pak de la 4. Kompanie, il s'agissait soit de pièces françaises (Beute), 47 mm SA 37, soit de 4,7 cm Pak 36 (t) tchèques! ... Pas très folichon comme dotation, pour l'époque et sur le Front Est!

Sinon, Roger a raison en te conseillant de scanner les pages du livret de solde (Soldbuch) de ton grand-père et de nous les adresser "discrètement" par MP - sans qu'elle ne soient, pour autant, publiées sur le "forum public" - cela dit, les informations qu'elles contiennent n'ont rien de spécialement "sensibles"- ; il te suffit, pour çà, d'utiliser la touche "MP", qui figure en regard, par exemple, des interventions de Roger (Roco) ou de moi-même. Je te conseillerais de les communiquer, en priorité, à Roger, qui est un véritable "sorcier" pour les exploiter au mieux.

Ah, juste encore un petit détail, Roger et moi-même, ne serait-ce que pour des raisons familiales directes, baignons depuis des décennies et de longue date dans l'environnement des "Malgré-Nous", pour Roger, celui des territoires belges réintégrés en 1940, dans le territoire du Reich, et pour ton serviteur, l'Alsace.

Loic

Certains documents ou informations sont sensible car j'écris les mémoires de ma famille
14/18
39/45
Je voudrai surtout a se que tous ses documents restent confidentiel ( je compte bien publier mon ouvrage un jour )
Je vous fais confiance et vous envoi le même dossier

Loic j'ai un beau dossier (14/18 39/45)
Si un jours tu passe par la Moselle (Proximité St avold) je serai très heureux dans discuter avec toi

Ne t'inquiète pas, si tu le souhaites, tes informations militaires familiales ne seront, en aucun cas, dispersées par nos soins, "à l'encan"; mais, de toute manière, à la lumière de nos propres expériences familiales, elles n'ont, à mon avis, aucun caractère particulièrement sensible, car elles font référence à une situation, toute à fois, complexe et trop souvent méconnue.

Je vais te donner en exemple familial, celui de feu mon beau-père, incorporé d'office fin 1942, expédié, après son instruction, en Norvège, en tant que servant d'artillerie d'une batterie lourde (21 cm Mörser 18)... Norvège, où il s'était gelé les arpions, nécessitant une amputation conséquente de ses orteils! En novembre 1944, sa batterie avait été transférée sur le Front Ouest, dans le cadre de l'offensive de la Bataille des Ardennes; courant janvier-février 1945, ladite batterie avait été expédiée à l'Est, pour "défendre les approches de Vienne". En avril 1945, l''unité avait été contrainte de reculer, pour finir par effectuer sa reddition le 8 mai 1945, à Berschtesgaden - cà ne s'invente pas! -, où les troupes US avaient relevé la 2ème DB FFL.

Bref, depuis fin 1942, feu mon "beau-père", né en 1922, qui n'avait pourtant rien d'un "héros", planquait soigneusement dans ses fûtes et une poche "secrète" bricolée, ses papiers d'identité français... qu'il avait réussi, lors du "dépouillage de rigueur", auquel était soumis les prisonniers de guerre, à "extraire" (sans se faire flinguer, pour un geste malencontreux!). Alors qu'on était le 8 mai et que la capitulation générale allemande était la règle, çà n'avait pas pourtant empêcher le Lieutnant, qui commandait la batterie, d'entrer, alors, dans une colère noire et de dire, tout haut, que s'il avait su ce qu'il trimbalait ainsi discrètement, il se serait fait un plaisir de le faire fusiller; témoignage véridique, même si le peloton d'exécution était un gros poil très excessif, en regard de la "faute" avérée, qui valait, au "pire", le gnouf.. quoique, à la fin de la guerre, çà ne rigolait pas trop avec la discipline!

Au final, le beau-père, reconnu comme "Malgré-Nous", avait, néanmoins, été contraint de passer, une petite huitaine de jours, dans un camp de prisonniers de guerre de "transit" - où il ne risquait pas, en principe, de se faire lyncher par ses anciens Kamaraden allemands - puis on l'avait expédié dans un train, direction l'Alsace, où il avait échoué, dans son "patelin natal" ou presque, Barr (il était originaire d'un village voisin, Saint-Pierre, dépourvu de toute gare ferroviaire!), sur un quai de gare, quasiment vide! ... Deux jours plus tard, il retrouvait son boulot dans la scierie locale, qu'il avait été contraint d'abandonner à l'appel de sa classe! Il avait eu du bol, en l'occurrence, car ses autres proches (fils unique, il n'avait que des cousins germains), eux, quand ils n'avaient pas été dézingués sur le Front Est, avaient, tous, croupis jusqu'en 1947, à Tempov, à commencer par son cousin germain, maire de Saint-Pierre, durant la décennie 1970!

Rien que de mon côté, je connais de très nombreux cas, tous aussi tordus, de "Malgré-Nous", sauf que, désormais, vu leurs âges, ils ne sont plus de ce monde!

Certains documents ou informations sont sensible car j'écris les mémoires de ma famille 14/18, 39/45... Je voudrais surtout à ce que tous ses documents restent confidentiels ( je compte bien publier mon ouvrage un jour )

A ce sujet, une petite réserve toute personnelle; les récits publiés de "Malgré-Nous" n'ont pas manqué, ne serait-ce que ses dernières quarante dernières décennies! Ils n'intéressent, au mieux, désormais, que les "passionnés" d'histoire locale... ce qui ne va pas péter bien loin!

En plus, mais çà n'engage que moi, la notion de création de la région fourre-tout "Grand Est" instaurée sous le règne de Flamby I^er (2012-2017), qui s'étend, désormais, en "largeur" depuis la rive gauche du Rhin jusqu'à "120 bornes" de Paris, n'a (volontairement!) rien arrangé à l'affaire! Dans la foulée, en Alsace, le Bas-Rhin et le Haut-Rhin, qui, jusque-là avaient passé l'essentiel de leur temps - avec un scrutin régional récent consciencieusement flingué! - à se chipoter pour se voir attribuer les "prérogatives régionales"! Bizarrement, désormais, l'Alsace "au grand complet" fait poliment le forcing pour tenter d'obtenir sa reconnaissance régionale... au demeurant, parfaitement logique, si on se réfère aux nombreuses lois locales existantes, dont je vous épargnerai l'énumération!