"On se souvient que le 24 décembre 1943, vers 20h30, un inconnu lança de la rue Gambetta une grenade qui fut jetée dans les salons Quiviger, rue de Brest, siège du "Soldatenheim". Six militaires allemands furent blessés. C'était un attentat absolument inutile, qui fut et qui est encore sévèrement critiqué. " "La mémoire de Morlaix retient le souvenir des cinquante-neuf otages raflés le 26 décembre 1943 et déportés par les Allemands après l'attentat contre le foyer du soldat allemand dans les salons Quiviger rue de Brest dans la nuit du 24 décembre 1943."
http://www.le-chiffon-rouge-morlaix.fr/ ... -plus-tard
Sur les 54 otages seuls 20 reviendront de déportation de Buchendwald.
La rafle est toujours un moment fort du "devoir de mémoire" à Morlaix (avec les 67 victimes dont 39 enfants de l'école catholique, du bombardement allié du 29 janvier 1943
https://www.ouest-france.fr/bretagne/mo ... ae7cd70647 )
Sauf que le représentant du PCF Mr Ismael Dupont, qui connait parfaitement l'Histoire du Mouvement breton (à la différence de sa collègue de Quimper qui s'est illustrée par son inculture à l'occasion de la conférence sur l'abbé Perrot le 9 décembre dernier) oublie volontairement de nommer celui qui a lancé la grenade:
Jean Thepaut, le responsable de l'OS qui douze jours auparavant a assassiné à Scrignac l'abbé Perrot. Le lendemain de l'attentat il était exfiltré vers la Normandie et échappait à la rafle, il revient en juillet 1944 dans la région de Scrignac diriger l'Epuration, où il s'est encore particulièrement illustré.
http://www.le-chiffon-rouge-morlaix.fr/ ... -plus-tard
Sur les 54 otages seuls 20 reviendront de déportation de Buchendwald.
La rafle est toujours un moment fort du "devoir de mémoire" à Morlaix (avec les 67 victimes dont 39 enfants de l'école catholique, du bombardement allié du 29 janvier 1943
https://www.ouest-france.fr/bretagne/mo ... ae7cd70647 )
Sauf que le représentant du PCF Mr Ismael Dupont, qui connait parfaitement l'Histoire du Mouvement breton (à la différence de sa collègue de Quimper qui s'est illustrée par son inculture à l'occasion de la conférence sur l'abbé Perrot le 9 décembre dernier) oublie volontairement de nommer celui qui a lancé la grenade:
Jean Thepaut, le responsable de l'OS qui douze jours auparavant a assassiné à Scrignac l'abbé Perrot. Le lendemain de l'attentat il était exfiltré vers la Normandie et échappait à la rafle, il revient en juillet 1944 dans la région de Scrignac diriger l'Epuration, où il s'est encore particulièrement illustré.