Pierre Georges 1919 1944 alias Frédo alias Colonel Fabien a 17 il s'engage en 1936 dans les Brigades internationales au coté des espagnols. A 19 ans il est griévement bless lors de la bataille de l'Ebre. arreté en 39 par la police française en tant que communiste, il s'évade en tuant un garde mobile et rejoint les groupes de choc de l'organisation spéciale du PCF. Il deviens le 2 aout 41 l'adjoint militaire d'Albert Ouzoulias qui est le responsable de l'ensemble des groupe de jeunes Francs tireurs. Le 21 aout il est l'auteur du premier attentat contre un officier allemand, l'aspirant Alphons Möser qui est abattu par le colonel Fabien en represaille a l'executione de deux jeune militants communiste son gest donne l'exemple aux autres militants, qui vont a partir de cette date multiplier les actions contre l'occupant , mais son acte entraine aussi les represaille dont serons victimes les francais qui seront pris en otage et executés aprés chaques attentats.
Brulé a¨Paris en raison de son gest il prend a partir de juin 42 la direction de la compagnie Valmy des FTPen franche comté. Blessé en octobre au cours d'une opération de guérilla il reviens a Paris, ou il est arrété le 30 novembre 42 dans une rafle au métro republique, il a le temps avant d'être pris d'abattre un policier de la Brigade spéciale.
Remis a la gestapo il sera torturé a plusieurs reprises,aprés plusieurs tentative d'évasion il reussi a s'nfuire du Fort de Romainville, il écrivit une lettre a Albert Ouzoulias racontant son évasion Aprés avoir percé un trou dans un mur nous devions filer par groupe de deux ou trois en profitant de moment d'innatentionde la sentinelle. l'opération etait assez hasardeuse, néanmoins le premier groupe dont j'étais réussit à passer aprés 2 heures d'attente je doute que plusieurs groupes aient pu passer
en août 44, il commande l'insurrection de Paris dans les quartiers sud de la capitale. Nommé colonel du 151e régiment d'infanterie composé des FTP de la brigade ile-de-France, il participe aux compbats pour la libérations de l'est de la france avant de mourir le 27 décembre 1944 en jouant avec une grenade dans son poste de commandement
source l'abcdaire de la resistance
et la chronique de la seconde guerre mondiale