Et s'ils avaient gagné?
Posté: 26 Sep 2013, 18:52Avertissement de l'équipe d'administration du forum :
L'auteur de cette uchronie nous a sollicité pour en faire la promotion. Bien que nous ne soyons pas fans de ce genre de littérature, il nous a semblé, après en avoir débattu entre nous, que nous ne devions pas appliquer de censure sur une oeuvre qui concerne la période d'intérêt du forum. C'est pourquoi, nous vous présentons ce roman en reprenant la présentation officielle de ce dernier faite par l'auteur lui-même.
Jumbo
En 1944, l’Allemagne n’a pas perdu la guerre. Un armistice a été signé. La situation militaire est actée et dessine les frontières d’une nouvelle Europe. Les priorités deviennent économiques. Il faut reconstruire. En même temps, les Nazis sont écartés du pouvoir et les nouveaux dirigeants ont à cœur d’effacer l’image d’une Allemagne va-t-en-guerre. Pour ce faire, ils utilisent une propagande à grande échelle. Un reporter argentin, Ricardo Ortiz, partisan de Péron, lui-même admirateur d’Hitler, est envoyé par son journal à Nuremberg pour couvrir le procès d’Arthur Harris, le commandant de l’aviation britannique durant la guerre. Les Allemands l’ont enlevé et l’accusent de crimes contre les populations civiles. Durant sa présence dans la ville allemande, il découvre, petit à petit, les atrocités commises à l’encontre des handicapés, des juifs et des résistants. Mais tout s’oppose à ce qu’il divulgue les informations qu’il a glanées. Ce n’est qu’en 1990 que la vérité sera enfin publiée.
L'auteur de cette uchronie nous a sollicité pour en faire la promotion. Bien que nous ne soyons pas fans de ce genre de littérature, il nous a semblé, après en avoir débattu entre nous, que nous ne devions pas appliquer de censure sur une oeuvre qui concerne la période d'intérêt du forum. C'est pourquoi, nous vous présentons ce roman en reprenant la présentation officielle de ce dernier faite par l'auteur lui-même.
Jumbo
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En 1944, l’Allemagne n’a pas perdu la guerre. Un armistice a été signé. La situation militaire est actée et dessine les frontières d’une nouvelle Europe. Les priorités deviennent économiques. Il faut reconstruire. En même temps, les Nazis sont écartés du pouvoir et les nouveaux dirigeants ont à cœur d’effacer l’image d’une Allemagne va-t-en-guerre. Pour ce faire, ils utilisent une propagande à grande échelle. Un reporter argentin, Ricardo Ortiz, partisan de Péron, lui-même admirateur d’Hitler, est envoyé par son journal à Nuremberg pour couvrir le procès d’Arthur Harris, le commandant de l’aviation britannique durant la guerre. Les Allemands l’ont enlevé et l’accusent de crimes contre les populations civiles. Durant sa présence dans la ville allemande, il découvre, petit à petit, les atrocités commises à l’encontre des handicapés, des juifs et des résistants. Mais tout s’oppose à ce qu’il divulgue les informations qu’il a glanées. Ce n’est qu’en 1990 que la vérité sera enfin publiée.
