Donc je vous traduit le fameux livre du Général enfin en ce temp là il n'était que Colonel et qui était parru en 1934 (Vers l'armée de Métier).
je supose que quelques uns de vos pères ou de vos grand père, ont eut l'occassion de le lire.
Et je vais le mettre régulièrement à jours, jusqu'à ce que la traduction est terminer.
Mais parfois, il y'auras des petit délais, du fait que je suis forcé de me renseigner sur les sens et sur certain mots et sur leurs phrases.
Alors ne m'en veuillez pas trop.
[..] = Page du livre
{..} = note que je joindrais à la fin de chaque paragraphe.
La préface je saute par dessus.
Donc ici à présent la première page.
A. Couverture
« La chair, qui s'est accoutumée à souffrir… »
Albert Samain
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Comme un portrait d'observation peut conduire à la pensée du sort de la personne représentée au sein, la carte de France a elle-même dessiné son propre destin. Au cœur de notre patrie de son est un comme un château fort: la rigueur d'un tableau de la vieille montagne, et sur les côtes des plateaux - Languedoc, Limousin et de la Bourgogne. Tout autour d'eux - de grandes raies, la plupart d'entre elle sont inaccessible, à toute personne qui menace la France de l'extérieur, coupé par une série de "fossés" et de vallées fluviales: Sâone, Rhône et-la Garonne, bloqué par les murs: montagne Juras, Alpes, Pyrénées, qui se jette loin dans la mer Manche, Océan Atlantique et la Méditerranée, mais à partir du Nord-Est il existe de terrible lacune qui se relie aux ponts majeures des bassins de la Seine et Loire ou avec la copropriétés avec l'Allemagne le Rhin. la nature elle-même à dessiné cette limite en tant que protection de la Gaulle, à peine effleure t'il la France, qu'il part immédiatement sur le côté et s'ouvre complètement.
Il est vrais que les VOSGES, peuvent servir de large ceinture protectrice « rempart de la forteresse », qui peut cependant, en traversant le territoire de Belfort ou par les lacs de sel. Les côtes de la Moselle et de Meuse, qui sont jointes d'un côté par le plateau Lorrain, et avec entre autres - les Ardennes qui forme un obstacle suffisamment sérieux, mais les obstacles sont néanmoins insuffisamment profonds. C'est erreur suffisante, afin de perdre, ces erreurs d'inattention, ou d'imprudence inattendue. Cependant, la première retraite dans les Flandre nous avait rendu vulnérable de l'arrière. Et ici exactement dans ces basses plaines nous ne trouvons ni de « fossé » ni de « murs », sur lesquels il serait possible d'utiliser pour s'abriter derrière pour s'auto défendre. Ici il n'y a pas de ligne sur les hauteurs qui dominent le dessus des localités ni en parallèle qui pourrait faire front aux grands fleuves. Il existe encore de plus mauvais exemple que celui ci. La géographie réel des localités a fourni de nombreuses façons pour rendre hostile l'invasion : la vallée de la Meuse, de Samora, l'Escaut, Iserre et de Scarpe où celle-ci eux même sont aux services des ennemis, tel les fleuves, la route et les rails - et qui mène elles même dès exactement le début, ouvre une voie à l'intérieur du pays. [16]