Osprey annonce (encore et toujours ...)

[iffig]

Peut-être parce qu'il s'agit d'un des trois exemplaires survivant aux USA ?

Je serais curieux de connaitre la raison du choix du DD661 Kidd, parmi les 186 destroyers du type Fletcher construits, a t'il un état de service particulier qui motive ce choix?

L'USS Kidd est l'un des quatre survivants (non ferraillés) de la classe Flechter; il joue, désormais le bâtiment-musée, ancré à Baton Rouge, en Louisiane. De surcroit, c'est celui auquel le Musée aurait volontairement conservé ou remis en état la configuration la plus proche de celle qu'il avait en 1944-1945, en récupérant des éléments ( Bofors, Oerlikon, antenne radar SG, torpilles, etc.).

C'est un usage quasi-général, pour ces monographies "navales", de prendre comme référence un bâtiment de la classe, tout en y évoquant l'ensemble de cette dernière. On retrouve une pratique similaire, par exemple, dans les nombreuses monographies publiées par les Éditions Ancre (de feu Jean Boudriot).

Attention, horrible et irrépressible JDesquerie
Je viens de voir l'exemplaire concernant les ultra-collaborateurs militaires français. Renversant de nouveauté. Mais ...
la bombe Osprey est-elle un déo nazi ?
JD

[NIALA]

Merci Loic pour cette réponse.

Une analyse fascinante de la bataille de la Seconde Guerre mondiale entre la Grande-Bretagne et la France pour garantir que les navires français restent hors des mains des Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale.

Après l'armistice de la France avec les puissances de l'Axe, la Grande-Bretagne réalisa que si l'Allemagne ou l'Italie insistaient sur le transfert des cuirassés, des croiseurs et des destroyers de la marine française au contrôle de leur propre marine, la balance en Méditerranée pencherait immédiatement en leur faveur. . Churchill a décidé que les navires les plus puissants de la Marine Nationale devraient être sécurisés par la diplomatie, la coercition ou la force. Le commandant en chef de la marine française était également désireux de garder ses navires hors des mains de l'Axe, mais il ne voulait pas non plus que les Britanniques les aient. Ces circonstances de plus en plus hostiles ont conduit à l'opération Catapult, qui a débuté le 3 juillet 1940, et a vu les deux nations se battre pour les navires.

L'historien naval expert Ryan Noppen analyse l'opération Catapult de la Royal Navy à Mers el-Kébir, l'opération Lever qui a suivi et les actions de représailles françaises dans les jours suivants. Ce livre examine la détérioration rapide des relations anglo-françaises et comment les deux anciens alliés sont rapidement tombés dans un conflit armé. Entièrement illustré de cartes détaillées, de photographies et d'œuvres d'art qui donnent vie aux forces britanniques et françaises impliquées, il présente un traitement captivant d'un épisode souvent oublié du début de la Seconde Guerre mondiale.

"un épisode souvent oublié"...première nouvelle, ben oui on comprend bien que la bibliographie anglophone en fasse "un épisode souvent oublié",
ça ne cadre pas trop avec le narratif de la petite ile qui résiste toute seule aux nazis et immunisée intérieurement au fascisme, en commençant par envoyer ad patres 1300 marins Français en quelques heures plus que la Kriegsmarine nazie n'a infligé à la Marine Française en 10 mois de guerre (1142 ♰) et en prenant d'assaut ceux restés dans les ports anglais pour en envoyer 10 000 autres derrières les fils de fer barbelés alors que les troupes Françaises sont encore dans la Ligne Maginot où flotte toujours le drapeau tricolore sur la plupart des ouvrages