C'est très paradoxale. La joie de faire de telles photos, sublimes de peur, d'horreur et de désespoir. L'excitation de vivre des moments historiques, privilégiés et d'essayer d'en capter la moindre parcelle. Et aussi cette misère, cette injustice, ce désarroi. Le paradoxe de ces reporters de guerre.
Ceci dit, l'image est belle.