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Après l'opération Barbarossa, les forces de l'Axe contraignent l'URSS au repli.
Après une série de succès, l'Allemagne s'enlisera progressivement puis cédera à Stalingrad et à Koursk.
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Nouveau message Post Numéro: 1  Nouveau message de beber65500  Nouveau message 03 Oct 2008, 22:35

Je recherche des livres sur la guerre a l'Est, en français , j'ai deja lu Stalingrad, Lieutenant de panzer, De Moscou à berlin de Grosmann Vassily, la guerre à l4est, es ce que vous connaissez des bons livres sur ce theme


 

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Nouveau message Post Numéro: 2  Nouveau message de MOSCA  Nouveau message 03 Oct 2008, 22:58

Bonsoir,

Les 900 jours de Léningrad, de Harisson Salisbury par exemple. Il date un peu mais il est très bon.

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Nouveau message Post Numéro: 3  Nouveau message de dynamo  Nouveau message 03 Oct 2008, 23:02

Stalingrad
Moscou, 2 ouvrages de théodor Plievier
Opération Barbarossa en 2 tomes de Paul Carell
Après Stalingrad
La bataille de Koursk
Les Russes déferlent
Les 3 titres précités sont également de Paul Carell, et on peut les trouver dans la collection "J'ai lu" bleu, à prix modique sur Ebay.

j'entends d'ici les puristes ronchonner, mais Plievier et Carell sont une première approche.
:cheers:
La dictature c'est "ferme ta gueule", et la démocratie c'est "cause toujours".
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Nouveau message Post Numéro: 4  Nouveau message de hell on wheels  Nouveau message 03 Oct 2008, 23:29

Bonsoir beber65500

Tu pourras aussi lire les deux ouvrages de Beevor : Stalingrad et Berlin qui existent au format de poche
@dynamo : les puristes pourront ronchonner mais ils les ont lu comme toi et moi, à un moment ou un autre..... :D :D
Amicalement
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Nouveau message Post Numéro: 5  Nouveau message de histoire d'un monde  Nouveau message 04 Oct 2008, 08:52

j'en avais un vraiment intéressant sur la guerre à l'est mais je l'ai vendu.
Je mets quand même le résumé !
Tovarich Kapitain Foch de Henry Fournier Foch
Format in 8, 246 pages
Editions de la Table Ronde de 2001, bon état
Résumé:En 1945, Henry Fournier Foch, officier de carrière et petit fils du Maréchal Foch, est prisonnier dans un Oflag en Poméranie. Il parvient à échapper aux allemands et à rejoindre les lignes soviétiques. Grâce à ses conseils, l'Armée Rouge remporte une victoire décisive contre une compagnie de SS anti chars. Devenu un héros, il est intégré à l'armée rouge. Il connait alors une série d'aventures plus palpitantes les unes que les autres : il rencontre le maréchal Joukov avec qui il boit du cognac, libère un camp de juives hongroisess et retient prisonniers les soldats de la division Charlemagne. UN témoignage exceptionnel et vraiment rare !
A noter que j'ai certain des livres cités plus haut dans la boutique.


 

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Nouveau message Post Numéro: 6  Nouveau message de Igor  Nouveau message 04 Oct 2008, 11:46

Bonjour Beber

Les éditions de Fallois ont publié le mois dernier La bataille de Moscou, d'Andrew Nagorski.

Image

Voici deux critiques positives du livre:

http://www.lesechos.fr/journal20080909/ ... ailles.htm

http://www.lalibre.be/culture/livres/ar ... oscou.html

Je reproduis également l'avis de Nicolas Bernard:

Quelques chiffres. Sept millions de soldats se battirent autour de Moscou au cours de l’automne et de l’hiver 1941. Le tiers d’entre eux furent tués, blessés, faits prisonniers, dont 1.896.500 Soviétiques et 615.000 Allemands. L’ampleur des effectifs engagés, des pertes subies par les deux camps, pour le sort de la capitale de l’U.R.S.S. - et, on peut le supposer, pour celui de la Russie elle-même - témoigne d’un simple constat, à savoir que la bataille de Moscou fut la plus grande bataille de l’Histoire.

Entre les mémoires des combattants allemands, des maréchaux les plus prestigieux aux sans-grades les plus désabusés, et la pontifiante Histoire officielle de la « Grande Guerre Patriotique », il était - et demeure - difficile de déterminer avec exactitude les phases de ce gigantesque affrontement, ce d’autant que les meilleures études militaires récemment consacrées à la question oublient malencontreusement - comme la grande majorité des historiens militaires - d’aborder son contexte global, c’est-à-dire diplomatique. Le journaliste américain Andrew Nagorski, qui a assuré trente années de reportages pour Newsweek, apporte ainsi de précieux éclaircissements, avec ce récit où la petite Histoire alterne avec la grande.

Les amateurs d’ordre de bataille précis jusqu’au plus obscur peloton, et de jargon technique et militaire soviéto-allemand, en seront pour leurs frais : M. Nagorski s’attache à décrire la guerre dans ce qu’elle a de plus radical. Le lecteur est amené à connaître la vie des soldats de l’Armée rouge, de leurs homologues de la Wehrmacht, du sanglant été à l’effroyable hiver de l’an 41, mais aussi les calculs de Hitler, les inquiétudes de Staline, et l’angoisse qui étreint Churchill et Roosevelt devant l’avance allemande en territoire russe.

L’auteur se penche également sur des faits méconnus, tels que l’évacuation, dès le 3 juillet 1941, de la momie de Lénine à 1.600 kilomètres du Kremlin, la formation d’unités de saboteurs et de guérilléros par le N.K.V.D. dans l’éventualité de la chute de la capitale, mais aussi les ambivalences de la population moscovite, partagée entre la crainte et l’espoir, tandis que se révèle un antisémitisme plus ou moins affiché au fur et à mesure que les Allemands se rapprochent. A cet égard, la fameuse panique populaire de la mi-octobre 1941 est enfin décrite avec la précision et l’objectivité qu’elle mérite. Staline, pour sa part, hésitera jusqu’au bout, peu confiant dans le potentiel militaire soviétique, mais il n’en demeurera pas moins sur place, ce qui contribuera à fortifier la résistance à l’envahisseur - et à son échec final, l’hiver aidant.

L’ouvrage de M. Nagorski s’arrête à l’échec désastreux de la contre-offensive d’hiver soviétique, nouvelle preuve, si besoin est, de l’incompétence stratégique de Staline. A tous points de vue, néanmoins, la bataille de Moscou a sauvé le régime, de même que l’Union soviétique, car pour la première fois la guerre-éclair nazie a échoué. L’Armée rouge a gagné un sursis, dont elle saura pleinement tirer parti à l’issue de cette autre titanesque tragédie que sera Stalingrad.


http://www.histoforum.org/histobiblio/a ... rticle=702


 

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Nouveau message Post Numéro: 7  Nouveau message de tietie007  Nouveau message 08 Oct 2008, 06:44

Je suis en train de le lire. Pour le moment, les cent premières pages ne sont pas très folichonnes et se contentent, il me semble, de généralités sur les personnalités d'Hitler et Staline. L'épisode sur le procès de Toukhatchevski reprend la fameuse intoxication de Staline par le SD allemand par le biais de Benes ...sur ce coup, l'auteur ne s'est pas vraiment foulé ! Par contre j'ai bien aimé la phrase de Molotov, dans ses Mémoires, dans les années 80, qui pense le Maréchal était coupable sans le savoir ...
Par contre certains témoignages de soldats sont intéressants, notamment celui du soldat qui fait partie des forces spéciales du NKVD, chargées de trucider les déserteurs ou paniquards ...


 

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Nouveau message Post Numéro: 8  Nouveau message de carlo  Nouveau message 08 Oct 2008, 07:42

tietie007 a écrit:JPar contre j'ai bien aimé la phrase de Molotov, dans ses Mémoires, dans les années 80, qui pense le Maréchal était coupable sans le savoir ...


Je n'ai rien trouvé de tel dans la version française parue en 1995, version abrégée il faut le dire, (pour les citations, in Tchouev, Conversations avec Molotov, Paris, 1995.)

P. 371: "(...) Il était dans l'intérêt de Benes d'avoir de bonne relation avec nous. Mais Staline ne pouvait se fier à la lettre d'un leader bourgeois, alors qu'il ne faisait même pas confiance à tous les siens. En fait même sans Benes, nous étions informés du complot, nous connaissions jusqu'à la date prévue pour le coup d'Etat.
Je tiens Toukhatchevski pour un comploteur militaire extrêmement dangereux qui ne s'est fait pincer qu'au tout dernier moment. Si on ne l'avait pas pris, c'eût été très grave. C'est lui qui avait le plus de prestige. Chacun des accusés et des fusillés a-t-il trempé dans le complot que tramait Toukhatchevski? Je n'ai aucun doute sur le fait que certains d'entre ont participé, quelques-uns ont pu être impliqués par erreur. Ou bien ils ont sympathisé. 08.03.1975"

P. 64: Répondant à l'affirmation que Touk. était "Un Bonaparte. Il aurait pu trahir": " (...) Allons donc! Il n'a pas "pu trahir", il a trahi, de la façon la plus ignoble. 21.05.1974"

Je n'ai trouvé nulle part où Molotov atténue la responsabilité de Touk., tous les passages le concernant sont de la même eau. Il serait intéressant de trouver le contexte de la citation de Nagorski.

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Nouveau message Post Numéro: 9  Nouveau message de tietie007  Nouveau message 08 Oct 2008, 08:15

carlo a écrit:
tietie007 a écrit:JPar contre j'ai bien aimé la phrase de Molotov, dans ses Mémoires, dans les années 80, qui pense le Maréchal était coupable sans le savoir ...


Je n'ai rien trouvé de tel dans la version française parue en 1991, version abrégée il faut le dire, (pour les citations, in Tchouev, Conversations avec Molotov, Paris, 1995.)

P. 371: "(...) Il était dans l'intérêt de Benes d'avoir de bonne relation avec nous. Mais Staline ne pouvait se fier à la lettre d'un leader bourgeois, alors qu'il ne faisait même pas confiance à tous les siens. En fait même sans Benes, nous étions informés du complot, nous connaissions jusqu'à la date prévue pour le coup d'Etat.
Je tiens Toukhatchevski pour un comploteur militaire extrêmement dangereux qui ne s'est fait pincer qu'au tout dernier moment. Si on ne l'avait pas pris, c'eût été très grave. C'est lui qui avait le plus de prestige. Chacun des accusés et des fusillés a-t-il trempé dans le complot que tramait Toukhatchevski? Je n'ai aucun doute sur le fait que certains d'entre ont participé, quelques-uns ont pu être impliqués par erreur. Ou bien ils ont sympathisé. 08.03.1975"

P. 64: Répondant à l'affirmation que Touk. était "Un Bonaparte. Il aurait pu trahir": " (...) Allons donc! Il n'a pas "pu trahir", il a trahi, de la façon la plus ignoble. 21.05.1974"

Je n'ai trouvé nulle part où Molotov atténue la responsabilité de Touk., tous les passages le concernant sont de la même eau. Il serait intéressant de trouver le contexte de la citation de Nagorski.


La Bataille de Moscou d'Andrew Nagorski, Editions de Fallois, 2008 pour l'édition française, paru en 2007, Simon and Shuster.

Page 97 :

Les défenseurs acharnés de Staline persistèrent à affirmer que ses méthodes de terreur avant et après l'offensive allemande étaient justifiées. Ce fut tout particulièrement le cas de Molotov, fidèle au dictateur jusqu'à sa mort en 1986. Il continuait à défendre la grande épuration militaire de 1937 et 1938.
"Bien sûr, il y a eu des excès, déclarait-il, mais tout cela, à mon avis, était excusable si l'on tient compte de l'objectif essentiel : maintenir la puissance de l'Etat ... Nos erreurs, y compris les plus graves, étaient justifiées."
(Phrase tirée du livre de Richard Overy, The Dictator's : Hitler's Germany, Stalin's Russia, New York, W.W Norton & Company, 2004)

Sur le cas des principales victimes de ces purges, à commencer par le Maréchal Toukhatchevski, il adoptait une position analogue :
"Le moment venu, de quel côté aurait-il été ? demandait-il. C'était un homme plutôt dangereux. Je doute qu'il ait été totalement de notre côté quand la situation est devenue grave, car c'était un homme de droite. Le danger de droite était celui qui était le plus grave à l'époque. Et beaucoup d'hommes de droite ne se rendaient même pas compte qu'ils l'étaient; ils l'étaient malgré eux."
(Propos tiré du livre d'Albert Resis, Molotov Remembers : Inside Kremlin Politics, Chicago, Ivan R.Dee, 1993)

L'expression de Molotov colle assez bien avec la notion des purges conçues par Staline. Fonction pédagogique ou d'exemplarité dans le cadre des procès publics, fonction de renouvellement des élites et de mise au pas des ennemis potentiels au régime, dans le cas de l'élimination de Toukhatchevski, puisque le procès fut à huis-clos. Innocent ou coupable, là n'était pas la question, l'objectif était de consacrer le primat du politique sur l'armée rouge, et notamment éliminer un Maréchal qui était d'une origine non prolétarienne, qui avait eu de nombreux contacts à l'étranger et qui avait une indépendance d'esprit qui ne correspondait pas à la servilité qu'attendait Staline. C'est ce que dit d'ailleurs Pavel Soudoplatov, un hiérarque du NKVD, à propos du militaire. Le Maréchal, en remettant en cause la compétence de Vorochilov, alors Commissaire à la Défense, créature de Staline, et incompétent notoire, avait commis un crime de lèse-majesté ...puisque dans un régime totalitaire la fidélité au Chef est bien plus importante que la compétence !


 

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Nouveau message Post Numéro: 10  Nouveau message de carlo  Nouveau message 08 Oct 2008, 09:37

tietie007 a écrit:Sur le cas des principales victimes de ces purges, à commencer par le Maréchal Toukhatchevski, il adoptait une position analogue :
"Le moment venu, de quel côté aurait-il été ? demandait-il. C'était un homme plutôt dangereux. Je doute qu'il ait été totalement de notre côté quand la situation est devenue grave, car c'était un homme de droite. Le danger de droite était celui qui était le plus grave à l'époque. Et beaucoup d'hommes de droite ne se rendaient même pas compte qu'ils l'étaient; ils l'étaient malgré eux."
(Propos tiré du livre d'Albert Resis, Molotov Remembers : Inside Kremlin Politics, Chicago, Ivan R.Dee, 1993)

L'expression de Molotov colle assez bien avec la notion des purges conçues par Staline. Fonction pédagogique ou d'exemplarité dans le cadre des procès publics, fonction de renouvellement des élites et de mise au pas des ennemis potentiels au régime, dans le cas de l'élimination de Toukhatchevski, puisque le procès fut à huis-clos. Innocent ou coupable, là n'était pas la question, l'objectif était de consacrer le primat du politique sur l'armée rouge, et notamment éliminer un Maréchal qui était d'une origine non prolétarienne, qui avait eu de nombreux contacts à l'étranger et qui avait une indépendance d'esprit qui ne correspondait pas à la servilité qu'attendait Staline. C'est ce que dit d'ailleurs Pavel Soudoplatov, un hiérarque du NKVD, à propos du militaire. Le Maréchal, en remettant en cause la compétence de Vorochilov, alors Commissaire à la Défense, créature de Staline, et incompétent notoire, avait commis un crime de lèse-majesté ...puisque dans un régime totalitaire la fidélité au Chef est bien plus importante que la compétence !


Ce passage est dans l'édition française (p.45),dans une traduction un peu différente. Ceci dit je ne vois pas très bien comment cette citation vous fait dire que Molotov "pense le Maréchal était coupable sans le savoir"? C'est vraiment une interprétation assez large de ses propos et qui me semble avoir pour seul qualité de "coller" avec votre argumentaire!
La citation de Molotov se poursuit ainsi: "Il y avait chez nous dans les années 20 une couche extrêmement mince de dirigeants du parti, et même cette couche se fissurait constamment: tantôt les droitiers, tantôt les nationalistes, tantôt l'opposition ouvrière... On peut s'étonner que Lénine ait pu résister à tout ça. Lénine est mort, eux sont tous restés et ont donné du fil à retordre à Staline. Khrouchtchev en est la preuve. Il est issu des droitiers, mais il jouait les léninistes: "Papa Staline! Nous sommes prêts à donner notre vie pour toi, on les exterminera tous!" Mais dès que l'étau s'est desseré, le vieux fond, en lui, a repris le dessus." (op.cit. p.46)
Le propos de Molotov est donc très général, il prend Toukh. comme un exemple de "droitier". A-t-il tort? Les officiers français, dont De Gaulle, qui le rencontrent à Ingolstadt, le décrivent comme un bon camarade, nationaliste russe un peu exalté. Mais je ne vais pas relancé un débat sur Toukh.
Je vous suis un peu dans ce que vous dites sur les procès, mais dites-moi, l'armée rouge n'était-elle qu'un nid d'incompétents? D'autres pays ont-ils mieux réussit à offrir dès le début des hostilités un corps d'officiers irréprochables?

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