Audie Murphy a écrit:Narduccio, merci de reprendre mes points un par un et tenter de les discréditer.
Je ne cherche pas à les discréditer. Je suis d'un autre avis, j'argumente point par point. Mais peut-être est-ce interdit ?
Audie Murphy a écrit:Si le front était aussi enfoncé que tu le dis, nous aurions assisté au même scénario que nous avons vu en 45 avec l'entrée des armées alliées à Berlin. Nous avons lu des livres d'histoire différents, peut-être les tiens ont-ils été écrits par des auteurs avec un penchant prononcé pour le côté allié...
J'ai plusieurs sources: un article dans "Chronique de l'aviation"
Les rébellions ont même atteint l'escadrille Richtofen commandée par Göring. Celui-ci retenu au quartier général, n'est d'ailleurs pas là pour assister au départ des mécaniciens au sol. Ces derniers ont décidé de prendre les camions de l'armée pour rentrer chez eux.Les pilotes ne peuvent admettre un tel abandon. Ils se précipitent sur leurs avions décollent pour tirer sur les fuyards. les quelques mécaniciens qui n'ont pas eu le temps de partir se ruent sur les mitrailleuses situées sur la piste. A leur tour, ils mitraillent les avions...
Le témoignage dans le journal l'Alsace de l'un des combattants allemand encore vivant qui raconta sa guerre dans un article et son errence pour entrer en Alsace directement (en fait lors de l'armistice, il était déjà pratiquement chez lui et il disait qu'il n'avait fait que suivre l'exemple des allemands puisque lui l'alsacien était tenu à l'oeil). D'ailleurs, il eut beaucoup de problèmes ensuite avec les français parce qu'il n'avait pas de certificat de démobilisation. J'avais aussi un livre développant cette thèse, mais je n'arrive plus à remettre la main dessus dans le b.... qui encombre ma bibliothèque, j'en parlerai quand j'aurais remis la main dessus.