Le vol de Rudolf Hess

Quelle est l'opinion des historiens britanniques sur cette affaire ?

Et les historiens américains, allemands, etc ?

Arguments peu valides car, pardon Elgor, montrant une méconnaissance totale de la façon dont fonctionnait véritablement le nazisme, méconnaissance que gibraltar14 partage avec toi.

Là, je suis déçu ! Car je n'ai pas été convaincu par les arguments avancés par toi et François Delpla ! Je les trouve trop alambiqués et ne correspondant pas au personnage. D'ailleurs, au Procès de Nuremberg, Rudolf Hess, a été , disons "boudé" par les autres accusés, y compris Goering ! Or ce plan d'intoxication n'aurait pu se faire sans que celui-ci soit au moins au courant. N'oublions pas que nous sommes en 1941 et que Goering n'est pas encore discrédité. Or Hess aurait été sinon traité comme un héros, du moins, considéré comme un camarade dévoué au fuhrer. Il n'en a rien été !

Un point important soulevé par Elgor ! Ce sujet est passionant mais saurons nous un jour la vérité...

Ce sujet est passionant mais saurons nous un jour la vérité...

A défaut de connaitre la vérité, peut-on connaitre l'opinion formulée par les experts ?
Quelle est l'opinion des historiens britanniques sur cette affaire ?
Et les historiens américains, allemands, etc ?

[Prosper Vandenbroucke]

Ce sujet est passionant mais saurons nous un jour la vérité...

A défaut de connaitre la vérité, peut-on connaitre l'opinion formulée par les experts ?
Quelle est l'opinion des historiens britanniques sur cette affaire ?
Et les historiens américains, allemands, etc ?

Mon cher Mistral,
Cela fait trois fois que tu poses la même question, mais tu n'as jamais daigné répondre à Daniel Laurent qui te demandait ceci à 12h30 ce dimanche 27 mars:

Et la tienne, d'opinion, on peut la connaitre ?

Cordialement
Prosper

Daniel utilise une tactique bien connue sur les forums. Il répond à une question par une question. Il ne faudrait pas que Daniel se sente encouragé à utiliser cette tactique.

Une question appelle une réponse, et non pas une nouvelle question.

Et la tienne, d'opinion, on peut la connaitre ?

Cela ressemble à une question alors que j'étais en droit d'attendre une réponse.


Daniel affirme que François Delpla est le seul historien à s'être intéressé au vol de Rudolf Hess et que les autres historiens ne s'y sont pas intéressé avant. D'où la question que j'ai posté dimanche 27 mars à 10h57 : « Est-ce que tu es certain de ce que tu avances ? Est-ce que tu as vérifié ? »

(...) tu n'as jamais daigné répondre à Daniel Laurent qui te demandait ceci à 12h30 ce dimanche 27 mars:

Et la tienne, d'opinion, on peut la connaitre ?

Il me semble que 10h57 est antérieure à 12h30. Il me semble donc que ma question précède celle de Daniel.

Remarque rapide avant une visite à Auschwitz : le nazisme est une dictature civile.
La guerre donne aux militaires du boulot mais non du pouvoir.
Elle ne fait qu'augmenter celui de Hess, chef du parti et "représentant du Führer".

Notamment pour aller tâter les chances de paix pendant que les généraux font joujou.

Bonjour,

Daniel utilise une tactique bien connue sur les forums. Il répond à une question par une question. Il ne faudrait pas que Daniel se sente encouragé à utiliser cette tactique.

Quelle tactique ? Tu devrais arrêter de me chercher, Mistral, car ma patience a ses limites.

J'ai déjà, pour ma part, répondu a ta question posée quatre fois, a savoir que, a ma connaissance, François Delpla est le premier historien a émettre l’hypothèse que Hitler était parfaitement au courant et sans doute l'initiateur de ce vol solitaire.
Les autres, du moins ceux que j'ai lu, en parlent peu ou versent dans la théorie du coup solitaire. Ian Kershaw remarque cependant que les explications officielles nazies, Hess malade mental, ne tiennent pas la route dans la mesure ou il était le numéro 2 du Parti, mais il n’élabore pas plus a ce sujet.
Toutefois, il semblerait, selon Wikipedia, que les 2 aumôniers qui ont assiste Hess a Spandau pendant son emprisonnement soient tous les 2 d'accord sur le fait que Hess n’était ni fou ni psychologiquement fragile.

Notons quand même que Otto Skorzeny, qui n'etait pas n'importe qui dans le Reich, déclare dans son autobiographie La Guerre inconnue (Albin Michel, 1975) que Hitler était parfaitement au courant du projet de Rudolf Hess de partir négocier en Grande-Bretagne.
Delpla, Skorzeny, même combat ?

"Delpla, Skorzeny, même combat ?"

personnellement la comparaison ne m'aurait pas convenu.

Mon cher Mistral ! Je surenchéris sur Daniel ! nous sommes sur un Forum; ce qui veut dire que nous pratiquons le débat. Comme tu l'a vu ci-dessus nous avons Daniel et moi, une vision (légèrement) différente du cas Hess. Tant mieux ! Le débat est plus enrichissant d'autant plus qu'il est courtois. Tu connais la formule "du choc des idées .... ". Mais j'ai l'impression que toi tu ne participes pas. Tu poses des questions, mais on ne sait pas ce que tu penses. On a l'impression d'un examinateur qui ferait passer le bac d'histoire à un candidat et tu te perds dans des problèmes d'antériorité de questions. Alors vas y ! dis nous ton opinion ! éventuellement on préciseras un point, mais on te le jure, on ne te mangeras pas (sauf si éventuellement tu violes la charte, mais à ce moment là, c'est Prosper qui te fera les gros yeux, pas moi )

"Delpla, Skorzeny, même combat ?"

personnellement la comparaison ne m'aurait pas convenu.

De toute façon, cette comparaison n'a aucun sens. Personne n'a assimilé François Delpla à Skorzeny ! Mais de toute façon ce n'est pas parce qu'un nazi dit une chose que c'est forcément faux. Si skorzeny disait "j'aime la tête de veau sauce vinaigrette !", je ne me sentirais pas obligé de me priver d'un de mes plats favoris

Plus sérieusement, François Delpla revoit la "mission Hess" sous un jour nouveau. Il argumente et à ce titre mérite qu'on examine sa thèse ! Mais Daniel a affirmé qu'il était le premier à voir cet épisode de l'histoire sous ce jour. J'en conclus donc que beaucoup d'historiens ne la partage pas. On peut donc la discuter ( ce que je fais) ou la réfuter (ce que je ne fais pas ) sans être pendu aux fourches du gibet de Montfaucon.