Post Numéro: 13 de Aldebert 30 Avr 2012, 15:22
Tri martolod a écrit:Est-ce à dire que la distillation était totalement clandestine pendant l'occupation?? Si l'alcool était une monnaie d'échange, l'occupant et ses serviteurs étaient alors complices
A+,
Pierre
PS: comment interpréter le fait que le premier fil d'un nouveau sujet sur la vie pendant l'occupation soit dédié à l'alcool?? Avis au psychos!!
Je lève ma moque à la santé d'Albert
....comme c'est curieux
on lève souvent le verre à ma santé. C'est peut-être la raison pour laquelle je me porte encore bien. Je touche donc du bois, càd la tête de notre bon ami Pierre que je remercie.
Pour ce qui concerne la production d'Alcool Pierre, tu auras remarqué dans le texte présenté sur la Cidrerie St Julien une correspondance qui répond à ta question. L'alcool est fabriqué industriellement sous l'occupation, bien sûr. IL est aussi fabriquée et (peut-être)surtout clandestinement en France. Partout en France ,oui et c'est la raison pour laquelle on peut en parler librement sur ce fil sans être HS par rapport au précèdent.
Quant à être
une monnaie d'échange l'expression présentée comme une supposition par Eric a certainement dépassé sa pensée.
En vérité, à ma connaissance je n'ai pas connu et on ne m'a pas rapporté de cas où le coup de gnôle à été spontanément offert à l'occupant mais je ne dis pas qu'il n'y en a pas eu. L'interdiction du marché noir n'a pas empêché l'occupant d'en exercer le sport sous le manteau (vert de gris) malgré les risques encourus avec des Français pour toutes choses et aussi pour l'alcool.
Ce fil ne veut pas être la promotion de l'alcool, dire ses méfaits consécutifs à sa consommation. Le but est de recueillir des témoignages d'anecdotes liées à sa production légale ou clandestine et à sa commercialisation en général sous l'occupation.
J'ajouterais aussi qu'un petit coup de Lagavulin, bu avec grande modération n'a jamais fait de mal au gosier et.... je sais de quoi je parle.
Cordialement
Albert